paroles de chanson Chiraq - Ninho

C'est Johnny
Que pour cette putain d'quality mon pote

Il est encore loin, donc j'suis encore là (eh)
Binks

J'ai démarré en bas comme toi mon brother, j'voulais de l'or comme les Migos (han)
J'accepte pas qu'on tcheke de la main gauche (hum), dans le ghetto, des méganes un peu louches (oh)
J'ai mon automatique à la keh (whallah), j'suis un numéro sept sur la pelouse (wAllah)
Des fois je fais la passe, des fois je marque en plein Bernabéu (hun)
C'est la chienneté, j'suis en Nasdas (hun), bon qu'à redistribuer l'espèce (hun-hun, hun)
Garde la monnaie peace (peace), dans deux ans, j'suis monégasque
On voulait du blé, en effet (en effet), certains l'ont fait (hun), certains sont devenus fous
Fallait m'raconter la fin (fin), j'aurais changé dès l'début ('but), j'aurais pas été dans l'flou (flou)

En 700 raptor dans les dunes (ouh), tatami, septième dalle (hyn, hyn)
Y a ceux qui t'éteignent et ceux qu'allument encore une dernière flamme (toh-toh-toh-toh-toh)
Bon qu'à réclamer mon dû, quand ça paye pas dans les temps (nan)
Ça khalasse au lance pierre, pour s'relancer c'est embêtant
Désormais, faut renflouer les caisses, y a mon pote qui m'attend devant si ça chauffe (c'est noir)
J'ai fait l'chouf et puis l'sac avant d'devenir gérant, j'ai fait d'la musique
Les bilans sont noirs amigo (amigo), et bientôt j'vais m'en sortir (han)
II m'faut un peu d'Yaska, une banque privée pour investir (binks)

J'essaye d'tirer mon art de rue (de rue), j'encaisse de ouf et j'suis mort de rire (de rire)
Chez nous, on prie à fond la caisse (han, han), mais faut pas nous mettre hors de nous (jamais)
T'as bien compris où j'veux en venir (zemel)? Barillet plein dans la Goyar (brr)
Que des stories d'zonard (brr), j'remets les néons quand c'est trop noir (brr)
On bloque pas la maille chez tout l'monde, le papier fait tourner les têtes
Plusieurs sociétés d'mes prénoms, j'm'habille en blanc que quand j'fais la fête
Les gyrophares, les sirènes bleues m'empêchent de dormir (han, han)
Mon attitude me rend coupable, on mange pas chez n'importe quelle ralti (eh, non)

À l'amitié, j'y ai trop cru, mais la vérité vient quand tu seras grand
Et toute façon, ça va bientôt s'casser, j'sais même pas pourquoi j'attends? (Pourquoi j'attends?)
Peut-être que j'ai d'l'argent, mais cet argent faut l'travailler, hein?
Regard menaçant, boulot minutieux, bastos minuscule, les dégâts sont méga lourds (paw)
J'm'endors au crépuscule ça, c'est à cause des jaloux (ha, ha)
Mais maintenant qu'j'suis déjà là, j'ai pris tout ça, ça peut détaler
L'amour pour soigner mes balafres (balafre), si tu pars, elles vont s'réouvrir (ouvrir)
Plus d'émotions sous le Arai (Arai), pas d'pitié quand j'les vois courir (toh-toh-toh-toh-toh, eh, eh)

J'ai trop donné, j'ai trop dépensé, j'ai trop fait confiance
J'me suis fait niqué, petit tu penses que tout est bon (hyn?, oh)
De l'autre côté ça veut l'maximum, ça monte toutes les drogues, ça vend toutes les drogues
Banalisée est sur nos côtes, c'est chaud (chaud ma gueule)
Paname c'est pas Chicago, Paname c'est pas Chicago, mais on s'allume tout comme là-bas (c'est chaud)
Moustache longue comme un Chicanos, la weed comme un Chicanos, j'fume la quali', celle qui tabasse
C'est I'ghetto, j'dis que la vérité, ça sort le cœur est encore lourd (il est encore lourd)
II est encore lourd (il est encore lourd), donc j'suis encore là (donc j'suis encore là)
Il est encore lourd (il est encore lourd), donc j'suis encore là (donc j'suis encore là)
C'est Johnny

J'ai trop donné, j'ai trop dépensé, j'ai trop fait confiance
J'me suis fait niqué, petit tu penses que tout est bon (oh, ah)
De l'autre côté ça veut l'maximum, ça monte toutes les drogues, ça vend toutes les drogues
Banalisée est sur nos côtes (tout), c'est chaud (chaud ma gueule)
Paname c'est pas Chicago, Paname c'est pas Chicago, mais on s'allume tout comme là-bas (c'est chaud)
Moustache longue comme un Chicanos, la weed comme un Chicanos, j'fume la quali', celle qui tabasse
C'est I'ghetto, j'dis que la vérité, ça sort le cœur est encore lourd (il est encore lourd)
II est encore lourd (iI est encore lourd), donc j'suis encore là (bah ouais ma gueule)
Il est encore lourd, donc j'suis encore là (hey)