paroles de chanson Idylle philoménale - Yves Montand
Quand
j'ai
croisé
la
martine,
C'était
par
un
beau
matin
J'allais
ach'ter
des
bottines
Et
lui
trouvais
très
beau
teint.
Nous
partîmes
en
limousine,
Visiter
le
Limousin
Après
comme
on
le
devine
Ma
p'tite
femme
elle
devint.
Ma
concierge
qui
est
amène
Tous
les
matins
m'serr'
la
main
Mêm'
qu'au
moment
des
étrennes
Dans
ses
bras
elle
m'étreint
Cela
m'attire
des
scènes
Que
je
suppose
à
dessein
Pour
ne
pas
qu'ma
Philomène
Un
beau
jour
ne
m'file
aux
mains.
Son
manteau
de
ballerine
Gentiment
lui
bat
les
reins,
Sa
robe
de
percaline
Lui
vient
de
son
père
câlin.
Pendant
que
je
me
surmène
Dans
un
travail
surhumain
Elle
arpente
l'av'nue
du
Maine
En
t'nant
son
fichu
d'une
main.
Comm'
j'ai
un
chien
et
une
chienne
Qui
me
vienn'nt
d'un
autrichien
Ma
p'tit
femm'
qui
est
vosgienne
Me
dit:
"Pour
él'ver
vos
chiens
Vous
aurez
beaucoup
de
peine
Car
au
pays
transalpin
J'ai
connu
un'
helvétienne
Qu'a
jamais
pu
él'ver
l'sien
"
Et
voilà!

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