Текст и перевод песни Dante - Fantasmas

Fantasmas

A ti, que no creíste, que me tiraste por tierra
Que dijiste que mis sueños no valían una mierda
¿Qué se siente al verme arriba peleando en esta guerra
Cuando me disteis por muerto sin haberme visto ni empezar?

No tenéis ni idea del esfuerzo que conlleva
Pelear contra ti mismo mientras hablan por detrás
Quieren que te tuerzas, así funciona esta selva
Donde esperan que te muevas para hacer daño, sin más

Y es injusto ver que todos nos matamos por lo nuestro
Mientras fuera solo hay mierdas que esperan para atacar
Pero existen unas leyes, y como ocurre en la selva
Si el león abre la boca, las hienas se han de callar

Y el silencio no lo es todo
También rezan callados, pobres bobos
Y esperan acechándote a la espalda como lobos
Deseando que te caigas, que no salgas y que te ahogues en el lodo

Pero hay que ser mongolo, y eso seguro
Para pensar que así no iba a labrarme mi futuro
Seguro que tan solo me veíais como un bolo
Y yo resulté ser un muro que jamás estuvo solo

Queríais ser la carga tras los mil pasos que he dado
Queríais amargarme y ser fantasmas del pasado
Queríais ser mi cruz, ¿y en qué ha quedado?
Si habéis sido testigo y os habéis comido to′ lo que he logrado

Según ha pasado el tiempo, no habéis encontrado el modo
De joderme de tal forma en la que me rinda del todo
Queríais joderme y os pilló el toro
15 años de carrera por delante y un puto disco de oro

Pero es que ese niñato no iba a tener alas
Por eso todos me atacábais mientras yo soñaba
Por eso todos os reíais cuando yo escapaba
Por eso luego os sorprendísteis cuando yo volaba

Y ahora si os cruzáis conmigo, agacháis la mirada
Porque he llegado donde tú jamás imaginabas
Porque tenéis tanta vergüenza que no decís nada
Lo que no entiendo es cómo coño no se os cae la cara

De intentar hacer mal, de atacar sin pensar
De clavar un puñal, de reír sin cesar
De tirar a matar, de dañar sin pesar
Y recuerda esto último, porque es el final

A ti, que no creíste, que me tiraste por tierra
Que dijiste que mis sueños no valían una mierda
¿Cómo me ves desde abajo, mientras los míos lo disfrutan?
Tú nunca has sido mi hater, tú has sido un hijo de put-

Fantasmes

À toi, qui ne m'as pas cru, qui m'as jeté à terre
Qui as dit que mes rêves ne valaient rien
Comment te sens-tu en me voyant au sommet, combattant dans cette guerre
Alors que tu m'as déclaré mort sans même me voir commencer ?

Tu n'as aucune idée de l'effort que cela demande
De se battre contre soi-même tandis qu'ils parlent derrière ton dos
Ils veulent que tu t'effondres, c'est comme ça que fonctionne cette jungle
Où ils attendent que tu bouges pour faire du mal, sans plus

Et c'est injuste de voir que nous nous tuons tous pour ce qui nous appartient
Alors qu'à l'extérieur, il n'y a que des merdes qui attendent pour attaquer
Mais il existe des lois, et comme dans la jungle
Si le lion ouvre sa gueule, les hyènes doivent se taire

Et le silence n'est pas tout
Ils prient aussi en silence, ces pauvres imbéciles
Et ils t'attendent en embuscade dans ton dos comme des loups
Espérant que tu tombes, que tu ne sors pas et que tu te noies dans la boue

Mais il faut être idiot, c'est sûr
Pour penser que je n'allais pas me forger mon avenir comme ça
Je suis sûr que tu ne me voyais que comme un crétin
Et je me suis avéré être un mur qui n'a jamais été seul

Tu voulais être le poids derrière les mille pas que j'ai faits
Tu voulais me gâcher la vie et être un fantôme du passé
Tu voulais être ma croix, et qu'en est-il devenu ?
Si tu as été témoin et que tu as dévoré tout ce que j'ai accompli

Au fil du temps, tu n'as pas trouvé le moyen
De me ruiner de façon à ce que je renonce complètement
Tu voulais me ruiner et tu as été pris de court
15 ans de carrière devant toi et un putain de disque d'or

Mais c'est que ce gamin n'allait pas avoir d'ailes
C'est pourquoi vous m'attaquiez tous pendant que je rêvais
C'est pourquoi vous riiez tous quand je m'échappais
C'est pourquoi vous avez été surpris plus tard quand j'ai volé

Et maintenant, si tu croises mon chemin, tu baisses les yeux
Parce que j'ai atteint ce que tu n'as jamais imaginé
Parce que tu as tellement honte que tu ne dis rien
Je ne comprends pas comment tu ne rougis pas

D'essayer de faire le mal, d'attaquer sans réfléchir
De planter un couteau, de rire sans cesse
De tirer pour tuer, de faire du mal sans remords
Et rappelle-toi cela, car c'est la fin

À toi, qui ne m'as pas cru, qui m'as jeté à terre
Qui as dit que mes rêves ne valaient rien
Comment me vois-tu d'en bas, tandis que les miens en profitent ?
Tu n'as jamais été mon détracteur, tu as été un fils de pu-