Текст и перевод песни James Taylor - Millworker

Millworker

Now my grandfather was a sailor
He blew in off the water
My father was a farmer
And I, his only daughter
Took up with a no good millworking man
From Massachusetts
Who dies from too much whiskey
And leaves me these three faces to feed
Millwork ain′t easy
Millwork ain't hard
Millwork, it ain′t nothing
But an awful boring job
I'm waiting for a daydream
To take me through the morning
And put me in my coffee break
Where I can have a sandwich
And remember
Then it's me and my machine
For the rest of the morning
For the rest of the afternoon
And the rest of my life
Now my mind begins to wander
To the days back on the farm
I can see my father smiling at me
Swinging on his arm
I can hear my granddad′s stories
Of the storms out on Lake Eerie
Where vessels and cargos and fortunes
And sailors′ lives were lost
Yes, but it's my life, has been wasted
And I have been the fool
To let this manufacturer
Use my body for a tool
I can ride home in the evening
Staring at my hands
Swearing by my sorrow that a young girl
Ought to stand a better chance
Oh, may I work the mills
Just as long as I am able
And never meet the man
Whose name is on the label
It be me and my machine
For the rest of the morning
And the rest of the afternoon, gone
For the rest of my life

Ouvrière du moulin

Mon grand-père était marin
Il est arrivé de la mer
Mon père était fermier
Et moi, sa seule fille
J'ai épousé un mauvais ouvrier du moulin
Du Massachusetts
Qui est mort d'avoir trop bu du whisky
Et me laisse ces trois visages à nourrir
Le travail du moulin n'est pas facile
Le travail du moulin n'est pas difficile
Le travail du moulin, ce n'est rien
Mais un travail terriblement ennuyeux
J'attends un rêve
Pour me faire passer la matinée
Et me mettre dans ma pause-café
Où je peux manger un sandwich
Et me souvenir
Puis c'est moi et ma machine
Pour le reste de la matinée
Pour le reste de l'après-midi
Et pour le reste de ma vie
Maintenant, mon esprit commence à vagabonder
Vers les jours sur la ferme
Je vois mon père me sourire
Se balançant sur son bras
J'entends les histoires de mon grand-père
Des tempêtes sur le lac Érié
Où les navires, les cargaisons, les fortunes
Et la vie des marins ont été perdues
Oui, mais ma vie a été gaspillée
Et j'ai été la sotte
De laisser ce fabricant
Utiliser mon corps comme un outil
Je peux rentrer chez moi le soir
Fixant mes mains
Jurant par ma tristesse qu'une jeune fille
Devrait avoir une meilleure chance
Oh, puis-je travailler dans les moulins
Aussi longtemps que je suis capable
Et ne jamais rencontrer l'homme
Dont le nom est sur l'étiquette
C'est moi et ma machine
Pour le reste de la matinée
Et le reste de l'après-midi, fini
Pour le reste de ma vie