Текст песни Rodrigues, suite et fin - Jeanne Cherhal
Jamais
je
n'oublierai
le
nom
de
Rodrigues
Son
déhanché
léger
qui
intrigue
L'art
de
la
longue
sieste,
l'indolente
fatigue
L'air
est
doux
de
la
dune
à
la
digue
Jamais
je
n'oublierai
le
dernier
paradis
Les
vestiges
d'un
temps
évanoui
Le
calme
suranné,
le
silence
infini
La
lumière
de
fin
d'après-midi
Et
la
lenteur,
la
lenteur
Règne
sur
les
corps
et
les
cœurs
La
lentеur,
la
lenteur
Le
dеrnier
paradis
vit
au
rythme
du
vent
Le
dernier
paradis
s'enfonce
lentement
Le
dernier
paradis
est
une
île
idéale
Le
dernier
paradis
a
la
joie
boréale
Le
dernier
paradis
vit
au
rythme
du
vent
(Et
des
langues
de
soleil
qui
roulent
encore
sur
lui)
Le
dernier
paradis
s'enfonce
lentement
(Dans
la
mer
de
corail
qui
mouille
encore
pour
lui)
Le
dernier
paradis
est
une
île
idéale
(Aux
contours
alanguis
dans
un
demi-sommeil)
Le
dernier
paradis
a
la
joie
boréale
(D'un
éden
inconquis
protégeant
ses
merveilles)
Le
dernier
paradis
vit
au
rythme
du
vent
(Et
des
langues
de
soleil
qui
roulent
encore
sur
lui)
Le
dernier
paradis
s'enfonce
lentement
(Dans
la
mer
de
corail
qui
mouille
encore
pour
lui)
Le
dernier
paradis
est
une
île
idéale
(Aux
contours
alanguis
dans
un
demi-sommeil)
Le
dernier
paradis
a
la
joie
boréale
(D'un
éden
inconquis
protégeant
ses
merveilles)
(Et
des
langues
de
soleil
qui
roulent
encore
sur
lui)
Le
dernier
paradis
(Dans
la
mer
de
corail
qui
mouille
encore
pour
lui)
(Aux
contours
alanguis
dans
un
demi-sommeil)
Le
dernier
paradis
(D'un
éden
inconquis
protégeant
ses
merveilles)
(Et
des
langues
de
soleil
qui
roulent
encore
sur
lui)
Le
dernier
paradis
(Dans
la
mer
de
corail
qui
mouille
encore
pour
lui)
(Aux
contours
alanguis
dans
un
demi-sommeil)
Le
dernier
paradis
(D'un
éden
inconquis
protégeant
ses
merveilles)
Le
dernier
paradis
Le
dernier
paradis
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