Joan Manuel Serrat - El Teu Àngel de la Guarda - перевод текста песни на французский

Текст и перевод песни Joan Manuel Serrat - El Teu Àngel de la Guarda




El Teu Àngel de la Guarda
Ton Ange Gardien
Com el vell faroner que amb llanterna de foc, contra el vent, escombra la mar negra encenent les nits sense lluna, advertint els vaixells del perill dels esculls esmolats que els aguaiten traidors, amagats, emboscats en l′escuma. Com el vell faroner que amb llanterna de foc, contra el vent, escombra la mar negra encenent les nits sense lluna, jo tinc encès un far per dur-te estàlvia on trobis empar, perquè se t'empassi la mar i et respectin les ones. No fos cas que la mar li fes basarda al teu àngel de la guarda. Com el guardabarrera del pas a nivell que, gelós, espera el tren que passa veloç aixecant polseguera i brandant el fanal agraeix el xiulet de l′amic que per camins de ferro i de nit fuig sense mirar enrere. Com el guardabarrera del pas a nivell que, gelós, espera el tren que passa veloç aixecant polseguera, vigilo amb zel d'amant que res no aturi el teu camí franc i arribis sense cap entrebanc on la vida t'espera. No fos cas que el camí li fes basarda al teu àngel de la guarda. Com el sereno que carregat amb un manat de claus vetllava pel silenci i la pau del barri que dormia i cuitós feia cap, colpejant la llanceta, al reclam del veí que picava de mans, a obrir laporteria. Com el sereno que carregat amb un manat de claus vetllava pel silenci i la pau del barri que dormia, pensa que sempre hi sóc. A tota hora i en quaselvol lloc. Només crida′m i ho deixaré tot per fer-te companyia. No fos cas que la nit li fes basarda al teu àngel de la guarda.
Comme le vieux gardien de phare qui, avec sa lanterne de feu, contre le vent, balaie la mer noire en illuminant les nuits sans lune, avertissant les navires du danger des récifs acérés qui les guettent, traîtres, cachés, embusqués dans l'écume. Comme le vieux gardien de phare qui, avec sa lanterne de feu, contre le vent, balaie la mer noire en illuminant les nuits sans lune, j'ai allumé un phare pour te mener en sécurité tu trouveras refuge, pour que la mer ne t'emporte pas et que les vagues te respectent. De peur que la mer ne fasse peur à ton ange gardien. Comme le garde-barrière du passage à niveau qui, jaloux, attend le train qui passe à toute vitesse soulevant la poussière et brandissant le fanal remercie le sifflet de l'ami qui, par les chemins de fer et de nuit, fuit sans regarder en arrière. Comme le garde-barrière du passage à niveau qui, jaloux, attend le train qui passe à toute vitesse soulevant la poussière, je veille avec le zèle d'un amant à ce que rien n'arrête ton chemin et que tu arrives sans encombre la vie t'attend. De peur que le chemin ne fasse peur à ton ange gardien. Comme le sereno chargé d'un trousseau de clés qui veillait sur le silence et la paix du quartier endormi et se rendait diligent, frappant de sa lance, à l'appel du voisin qui frappait des mains, pour ouvrir la porte. Comme le sereno chargé d'un trousseau de clés qui veillait sur le silence et la paix du quartier endormi, pense que je suis toujours là. À toute heure et en tout lieu. Appelle-moi et je laisserai tout tomber pour te tenir compagnie. De peur que la nuit ne fasse peur à ton ange gardien.
TU ÁNGEL DE LA GUARDA
TON ANGE GARDIEN
Para Candela
Pour Candela
Como el viejo farero que con linterna de fuego, contra el viento, barre la mar negra encendiendo las noches sin luna, advirtiendo a los barcos del peligro de los escollos afilados que acechan traidores, escondidos, emboscados en la espuma. Como el viejo farero que con linterna de fuego, contra el viento, barre la mar negra encendiendo las noches sin luna, yo tengo encendido un faro para llevarte a salvo donde halles amparo, para que no se te trague la mar y te respeten las olas. No sea que la mar le miedo a tu ángel de la guarda. Como el guardabarrera del paso a nivel que, celoso, espera el tren que pasa veloz levantando polvareda y balanceando el farol agradece el silbato del amigo que por caminos de hierro y de noche huye sin mirar atrás. Como el guardabarrera del paso a nivel que, celoso, espera el tren que pasa veloz levantando polvareda, vigilo con celo de amante que nada detenga tu camino franco y llegues sin tropiezo alguno donde la vida te espera. No sea que el camino le miedo a tu ángel de la guarda. Como el sereno que cargado con un manojo de llaves velaba por el silencio y la paz del barrio que dormía y diligente acudía, golpenado el chuzo, al reclamo del vecino que daba palmas, a abrir la portería. Como el sereno que cargado con un manojo de llaves velaba por el silencio y la paz del barrio que dormía, piensa que siempre estoy. A todas horas y en cualquier lugar. Sólo llámame y lo dejaré todo para hacerte compañía. No sea que la noche le miedo a tu ángel de la guarda.
Comme le vieux gardien de phare qui, avec sa lanterne de feu, contre le vent, balaie la mer noire en illuminant les nuits sans lune, avertissant les navires du danger des récifs acérés qui les guettent, traîtres, cachés, embusqués dans l'écume. Comme le vieux gardien de phare qui, avec sa lanterne de feu, contre le vent, balaie la mer noire en illuminant les nuits sans lune, j'ai allumé un phare pour te mener en sécurité tu trouveras refuge, pour que la mer ne t'emporte pas et que les vagues te respectent. De peur que la mer ne fasse peur à ton ange gardien. Comme le garde-barrière du passage à niveau qui, jaloux, attend le train qui passe à toute vitesse soulevant la poussière et brandissant le fanal remercie le sifflet de l'ami qui, par les chemins de fer et de nuit, fuit sans regarder en arrière. Comme le garde-barrière du passage à niveau qui, jaloux, attend le train qui passe à toute vitesse soulevant la poussière, je veille avec le zèle d'un amant à ce que rien n'arrête ton chemin et que tu arrives sans encombre la vie t'attend. De peur que le chemin ne fasse peur à ton ange gardien. Comme le sereno chargé d'un trousseau de clés qui veillait sur le silence et la paix du quartier endormi et se rendait diligent, frappant de sa lance, à l'appel du voisin qui frappait des mains, pour ouvrir la porte. Comme le sereno chargé d'un trousseau de clés qui veillait sur le silence et la paix du quartier endormi, pense que je suis toujours là. À toute heure et en tout lieu. Appelle-moi et je laisserai tout tomber pour te tenir compagnie. De peur que la nuit ne fasse peur à ton ange gardien.





Авторы: joan manuel serrat


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