Текст и перевод песни Juluka - Deliwe

Deliwe

Deliwe can you see the clouds rolling in
The wind in the north has changed and it blows your way
Whatever will you do when the rain starts to fall
Will you join the swallows and fly away
To the citadels of Europe across the sea
Deliwe would you go away without me?
Deliwe would you love me, would you leave me?
Would you leave this land that's green where your home straddles the earth
Leave the winds and the blessing of the bushland? You are a child of Africa, you are a wilderness
You are a jungle juniper, you are a flame lily
And as you walk in a foreign land, the songs of a road gang ring
Oh how they sing
And that melody will haunt your days like falling autumn leaves Zulu The bees are buzzing in your honey mouth
And I have drawn the water from your well
The deep rushing down while the night birds call
And the waters wash me on the inside
Wisps of the willow fall from your hair
Dreams and leaves of sorrow bequeath to you
By the deeds of your fathers hidden from your view
But in the north the thunderclouds would judge you
But you will always be a child of Africa, always wilderness
And the sorrow that stirs your heart inside is the dust of the regiments
But one day the skies will clear and eagles fly above those you left behind
Oh Deliwe won't you stay a while with me Oh bless this water bless this land, give us food to eat
Let our herds span the hills, let them graze in peace
If soldiers march across our fields, give them eyes to see
The children singing in the sand, songs in the north wind
And we will praise your name
We will praise your name And one day the skies will clear and eagles fly above those you left behind
Oh Deliwe won't you stay a while with me repeat Zulu Fade out with:
Oh bless this water, bless this land, etc.

Deliwe

Deliwe, peux-tu voir les nuages ​​qui arrivent ?
Le vent du nord a changé de direction et souffle vers toi.
Que feras-tu quand la pluie commencera à tomber ?
Joindras-tu les hirondelles et t'envoleras-tu ?
Vers les citadelles de l'Europe, de l'autre côté de la mer ?
Deliwe, partirais-tu sans moi ?
Deliwe, m'aimerais-tu, me quitterais-tu ?
Quitterais-tu cette terre verte où ta maison se dresse sur la terre ?
Laisserais-tu les vents et la bénédiction du bush ? Tu es une enfant d'Afrique, tu es une nature sauvage.
Tu es un genévrier de la jungle, tu es une flamme de lys.
Et alors que tu marches en terre étrangère, les chants d'un groupe de routeurs résonnent.
Oh, comme ils chantent.
Et cette mélodie hantera tes journées comme les feuilles d'automne qui tombent. Zulu Les abeilles bourdonnent dans ta bouche de miel.
Et j'ai tiré l'eau de ton puits.
Le profond qui coule vers le bas tandis que les oiseaux de nuit appellent.
Et les eaux me lavent à l'intérieur.
Des brins de saule tombent de tes cheveux.
Des rêves et des feuilles de tristesse te sont légués.
Par les actes de tes pères cachés à ta vue.
Mais dans le nord, les nuages ​​​​orageux te jugeront.
Mais tu seras toujours une enfant d'Afrique, toujours une nature sauvage.
Et la tristesse qui remue ton cœur à l'intérieur est la poussière des régiments.
Mais un jour, le ciel s'éclaircira et les aigles voleront au-dessus de ceux que tu as laissés derrière toi.
Oh Deliwe, ne voudrais-tu pas rester un moment avec moi ? Oh, bénis cette eau, bénis cette terre, donne-nous de la nourriture à manger.
Que nos troupeaux s'étendent sur les collines, qu'ils paissent en paix.
Si des soldats marchent à travers nos champs, donne-leur des yeux pour voir.
Les enfants chantant dans le sable, des chants dans le vent du nord.
Et nous louerons ton nom.
Nous louerons ton nom. Et un jour, le ciel s'éclaircira et les aigles voleront au-dessus de ceux que tu as laissés derrière toi.
Oh Deliwe, ne voudrais-tu pas rester un moment avec moi ? Répète Zulu. S'éteint avec :
Oh, bénis cette eau, bénis cette terre, etc.