Текст и перевод песни Maxim - Asphalt

Asphalt

Leere Strassen und Laternen, die letzte Bar macht gerade zu.
Ein leises Rauschen und der Hall,
Von den paar verlassenen Stöckelschuhen.
Und tausend Stimmen in meinem Kopf,
Wegen denen ich nicht schlafen kann.
Und alles schwebt um mich herum,
Und ich steh auf meinen Zehen und ich komm nicht dran.
Und unter den Kapuzen ist alles ganz schwarz.
Ob ich wohl der einzige bin der sich fragt:

Wo find ich halt? In diesen steilen Wänden aus Asphalt?
Wie kann ich entkommen?
Aus diesem Irrgarten aus Beton.
Aus diesem Irrgarten aus Beton.

Und ich spring von Stein zu Stein,
Und alles was ich dir versprechen kann,
Beginnt mit n'em "vielleicht",
Und endet mit "irgendwann".
Sorry, ich bin noch nicht so weit,
Für eine Tür mit dir zusammen.
Und die kohle ist zu knapp,
Und diese Spielplätze hier macht mir angst.
Bestimmt findest du gerade auch keinen Schlaf,
Weil alles verstummt und du dich immerzu fragst:

Wo find ich halt? In diesen steilen Wänden aus Asphalt?
Wie kann ich entkommen?
Aus diesem Irrgarten aus Beton.
Aus diesem Irrgarten aus Beton.

Langsam verstummt auch der krach in den Clubs.
Schatten stolpern aus den Türen, bis die Nacht sie verschluckt.
Mit verstrahlten Gesichtern und Augen aus Glas,
Zurück in die Strassen wo jeder sich fragt:

Wo find ich halt? In diesen steilen Wänden aus Asphalt?
Wie kann ich entkommen?
Aus diesem Irrgarten aus Beton.
Aus diesem Irrgarten aus Beton.

Asphalt

Des rues vides et des lampadaires, le dernier bar ferme ses portes.
Un léger murmure et le résonnement
De quelques talons oubliés.
Et des milliers de voix dans ma tête,
Qui m'empêchent de dormir.
Et tout flotte autour de moi,
Et je suis sur la pointe des pieds et je n'y arrive pas.
Et sous les capuches, tout est noir.
Suis-je le seul à me demander :

Où trouverais-je du réconfort ? Dans ces murs abrupts d'asphalte ?
Comment puis-je m'échapper ?
De ce labyrinthe de béton.
De ce labyrinthe de béton.

Et je saute d'une pierre à l'autre,
Et tout ce que je peux te promettre,
Commence par un "peut-être",
Et se termine par "un jour".
Désolé, je n'en suis pas encore là,
Pour une porte avec toi.
Et l'argent est trop serré,
Et ces terrains de jeux me font peur.
Je suis sûr que tu ne trouves pas le sommeil non plus,
Parce que tout est silencieux et tu te demandes sans cesse :

Où trouverais-je du réconfort ? Dans ces murs abrupts d'asphalte ?
Comment puis-je m'échapper ?
De ce labyrinthe de béton.
De ce labyrinthe de béton.

Le bruit des clubs s'éteint lentement.
Des ombres trébuchent hors des portes, jusqu'à ce que la nuit les engloutisse.
Avec des visages émaciés et des yeux de verre,
De retour dans les rues où chacun se demande :

Où trouverais-je du réconfort ? Dans ces murs abrupts d'asphalte ?
Comment puis-je m'échapper ?
De ce labyrinthe de béton.
De ce labyrinthe de béton.