Текст и перевод песни Pascal Obispo feat. Florent Pagny - Et un jour, une femme (live)

Et un jour, une femme (live)

D'avoir passé des nuits blanches à rêver
Ce que les contes de fées vous laissent imaginer
D'avoir perdu mon enfance dans la rue
Des illusions déçues passer inaperçu
D'être tombé plus bas que la poussière
Et à la Terre entière
En vouloir puis se taire
D'avoir laissé jusqu'à sa dignité
Sans plus rien demander
Qu'on vienne vous achever
Et un jour une femme
Dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules
Comme elle porte le monde
Et jusqu'à bout de force
Recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes
Puis un jour une femme
Met sa main dans la votre
Pour vous parler d'un autre
Parce qu'elle porte le monde
Et jusqu'au bout d'elle même
Vous prouve qu'elle vous aime
Par l'amour qu'elle inonde
Jour après jour vous redonne confiance
De toute sa patience
Vous remet debout
Trouver en soi un avenir peut-être
Et surtout l'envie d'être
Ce qu'elle attend de vous
Et un jour une femme
Dont le regard vous frôle
Vous porte sur ses épaules
Comme elle porte le monde
Et jusqu'à bout de force
Recouvre de son écorce
Vos plaies les plus profondes
Vos plaies les plus profondes
Et un jour cette femme
Met sa main dans la votre
Pour vous parler d'un autre
Parce qu'elle porte le monde
Et jusqu'au bout d'elle même
Vous prouve qu'elle vous aime
Par l'amour qu'elle inonde
Par l'amour qu'elle inonde
Et un jour cette femme
Dont le regard vous touche
Porte jusqu'à sa bouche
Le front d'un petit monde
Et jusqu'au bout de soi
Lui donne tout ce qu'elle a
Chaque pas chaque seconde
Et jusqu'au bout du monde
Et jusqu'au bout du monde
Et jusqu'au bout du monde
Oui jusqu'au bout du monde
Parce qu'elle porte le monde
Parce qu'elle porte le monde
Et jusqu'au bout du monde
Oh! Parce qu'elle porte le monde
Oh!
Oh!
Oh!
Oh! Jusqu'au bout du monde
Florent Pagny

Someday, a Woman (Live)

From spending sleepless nights dreaming
Of what fairytales would have you believe
From losing my childhood on the streets
Of being unseen amidst broken illusions
From falling lower than dirt
And wanting revenge on Earth
Then remaining silent
From having abandoned all dignity
And no longer asking for anything
But for someone to come and finish you off
Someday, a woman
Whose gaze caresses you
Carries you on her shoulders
As she carries the world
And until her very last breath
Recovers from her bark
Your deepest wounds
Someday, a woman
Places her hand in yours
To tell you about another
Because she carries the world
And until she is utterly spent
She proves to you that she loves you
Through the love that she bestows
Day after day, she restores your confidence
With all of her patience
She sets you back on your feet
To find a future within yourself, perhaps
And especially the desire to be
What she expects of you
Someday, a woman
Whose gaze caresses you
Carries you on her shoulders
As she carries the world
And until her very last breath
Recovers from her bark
Your deepest wounds
Your deepest wounds
And someday, this woman
Places her hand in yours
To tell you about another
Because she carries the world
And until she is utterly spent
She proves to you that she loves you
Through the love that she bestows
Through the love that she bestows
And someday, this woman
Whose gaze touches you
Brings to her lips
The forehead of a little world
And until she is utterly spent
She gives him everything she has
Each step, each second
And until the end of the world
And until the end of the world
And until the end of the world
Yes, until the end of the world
Because she carries the world
Because she carries the world
And until the end of the world
Oh! Because she carries the world
Oh!
Oh!
Oh!
Oh! Until the end of the world
Florent Pagny