Текст песни Les gueux de l'an deux mille - Serge Utge-Royo
                                                Les 
                                                Gueux 
                                                de 
                                                l'an 
                                                deux 
                                                mille
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                exister, 
                                                il 
                                                faut 
                                                montrer 
                                                De 
                                                bons 
                                                papiers 
                                                d'identité...
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                exister, 
                                                il 
                                                faut 
                                                montrer 
                                                De 
                                                bons 
                                                papiers 
                                                d'identité...
 
                                    
                                
                                                Nous 
                                                nous 
                                                cachons 
                                                dans 
                                                les 
                                                creux 
                                                de 
                                                la 
                                                Terre
 
                                    
                                
                                                Car 
                                                tous 
                                                les 
                                                étrangers 
                                                se 
                                                méfient 
                                                des 
                                                fourrières.
 
                                    
                                
                                                Dans 
                                                chaque 
                                                cité, 
                                                Nous 
                                                vivons 
                                                masqués...
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                travailler, 
                                                il 
                                                faut 
                                                pleurer. 
                                                Et 
                                                pour 
                                                chômer, 
                                                il 
                                                faut 
                                                mendier...
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                travailler, 
                                                il 
                                                faut 
                                                pleurer. 
                                                Et 
                                                pour 
                                                chômer, 
                                                il 
                                                faut 
                                                mendier...
 
                                    
                                
                                                Nous 
                                                servons, 
                                                le 
                                                cul 
                                                dans 
                                                la 
                                                poussière, 
                                                Et 
                                                vous 
                                                nous 
                                                humiliez, 
                                                messieurs 
                                                les 
                                                actionnaires.
 
                                    
                                
                                                C'est 
                                                nous 
                                                les 
                                                humains: 
                                                Nous 
                                                ne 
                                                sommes 
                                                rien.
 
                                    
                                
                                                Un 
                                                jour, 
                                                le 
                                                joli 
                                                mois 
                                                de 
                                                mai 
                                                Viendra 
                                                bousculer 
                                                vos 
                                                palais...
 
                                    
                                
                                                Un 
                                                jour, 
                                                le 
                                                joli 
                                                mois 
                                                de 
                                                mai 
                                                Viendra 
                                                bousculer 
                                                vos 
                                                palais...
 
                                    
                                
                                                Nous 
                                                vous 
                                                rendrons 
                                                vos 
                                                pitiés 
                                                méprisantes
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                nous 
                                                nous 
                                                offrirons 
                                                des 
                                                lendemains 
                                                qui 
                                                chantent...
 
                                    
                                
                                                Notre 
                                                temps 
                                                viendra: 
                                                Écoutez 
                                                nos 
                                                voix...
 
                                    
                                
                                                Notre 
                                                temps 
                                                viendra: 
                                                Écoutez 
                                                nos 
                                                voix...
 
                                    
                                 
                            
                                Альбом
                                
Traces publiques                                
                                
                            
                        1 Des gouttes de bonheur
2 Les gueux de l'an deux mille
3 Cinq cents hivers
4 Siècle perdu
5 J'entends gronder le vent... (qui porte la colère)
6 Le jour où nous serons vieux
7 Saturne
8 Claire fontaine du monde
9 Étoiles blafardes de mai
10 Le poing et le miel
11 Les anarchistes
12 L'absurde quête de l'absence
13 Compagnons de rimes et de notes
14 C'est l'instant de se faire des signes
15 Lettre à Kissinger
16 Une énorme boule rouge (version bilingue)
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