Lyrics Triomphe de la douceur violente - Angelo Branduardi
Dans
le
sous-bois
qui
s
'éveille,
S'étirent
les
herbes
folles,
Sans
vêtements
et
sans
pagnes,
Elles
montrent
leurs
corolles...
Et
les
nymphes
et
ses
ménades
Attendent
les
petits
hommes,
Pour
les
prendre
dans
les
rêves
De
l'amour
qui
dort
encore...
Ni
fatigue
ni
douleur
Dans
les
pleurs
du
sang
des
hommes,
Ni
beauté
ni
sous-bois
A
l'abri
de
leurs
malheurs
Pas
de
Dieu
qui
nous
punisse
Pas
de
Dieu
qui
nous
trahisse...
Pas
de
piège
dans
le
mystère
D'un
amour
qui
s'est
fait
chair
Chair
promise
chair
soumise,
Chair
glacée
ou
chair
brûlante,
De
la
jungle
à
la
banquise,
La
même
flèche
nous
tourmente...
Le
temps
qui
détruit
les
choses
Les
passions
comme
les
roses,
Est
moins
violent
que
la
grâce
De
l'éternité
des
femmes...
Vive
la
vie
des
tarentules
Vive
la
vie
des
petits
hommes...
Vive
la
vie
des
minuscules,
Des
souffrants
et
des
lucioles...
Ni
fatigue
ni
douleur
Dans
les
pleurs
du
sang
des
hommes...
Aux
rubans
et
aux
splendeurs
On
se
blesse
et
on
se
cogne...
Pas
de
Dieu
qui
nous
punisse
Pas
de
Dieu
qui
nous
trahisse...
Pas
de
piège
dans
le
mystère
D'un
amour
qui
s'est
fait
chair
Chair
promise
chair
soumise,
Chair
glacée
ou
chair
brûlante,
De
la
jungle
à
la
banquise,
La
même
flèche
nous
tourmente...
Et
dans
la
douceur
violente,
De
la
nature
impatiente,
Les
dieux
deviennent
des
hommes
Et
les
femmes
des
espérances.
Limbes
(E.
Roda-Gil
- Branduardi)
Il
y
sûrement
des
limbes
Où
ceux
qui
s'aimaient
s'attendent
Sans
espace
et
loin
du
temps
En
espérant
le
moment
De
se
fondre
doucement
Dans
une
autre
vie
qui
chante,
Dans
un
futur
qui
fermente,
Sous
un
autre
ciel
plus
clair...
Et
la
mémoire
s'enchante
De
se
retrouver
vivante
Dans
la
moitié
qui
lui
manque
Et
qui
vient
la
retrouver
Il
y
sûrement
des
limbes
Où
ceux
qui
s'aimaient
s'attendent
Sans
espace
et
loin
du
temps
En
espérant
le
moment
Et
s'il
y
a
des
retrouvailles
Dans
la
luxe
ou
sur
la
paille
Même
derrière
des
murailles
On
voudrait
bien
essayer
Essayer
de
vivre
encore
Dans
le
ciel
ou
sur
la
vague
Devenir
un
seul
poisson,
Un
seul
oiseau
nouveau...
Il
n'y
plus
de
temps
sans
toi,
Ni
poisson,
ni
oiseau.
Ophélie
(douce
ennemie)
(E.
Roda-Gil
- Branduardi)
Folle,
ma
folle
Rosée
qui
s'envolle
S'envolle...
Toi,
fille
Tu
picores
la
lune
Sans
peine,
pour
moi...
Sourire
Tout
mélange
de
larmes
Silences
Qui
crient
sans
prudence
de
joie
Ma
folle
Prends
mes
ailes
et
vole,
là-haut...
Très
loin
de
moi.
Folle,
ma
folle
Fragile
et
violente
Sois
mienne
Bien
folle
Tendre
et
insoumise
Inconnue
de
moi
Tu
parles
Fleuve
de
paroles
et
puis
Tu
ris
De
tes
espérances
folles
Ma
folle
Prends
mes
ailes
et
vole
là-haut
Très
loin
de
moi...
Je
garde
Comme
une
vengeance
La
rage
D'une
folie
qui
te
ressemble
bien
Ma
folle
Prends
mes
ailes
et
vole
là-haut
Très
loin
de
moi...
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