Lyrics and translation Ben Folds Five - Video - previously unreleased, Live Stockholm, Sweden, 3/12/1997

Video - previously unreleased, Live Stockholm, Sweden, 3/12/1997

Barren stares as they light up the screen
Bearing teardrops that shatter in slow-motion
Novacaine our brains and we're out like lights
As I'm growing older I'm bored
I remember when misery thrilled me much more
When I can't relax
And I'd like to go back
But that's gone
Yeah, that's gone, Turn around
Turn the volume down
We're counting the days down
Till the day when we live in a video
I'll be stone-faced and pale
You'll pout in stereo
24 hours every day of the year
Oh, what fun I can't wait 'til the future gets here
Closing in on the pain and the torture
He's slamming the doors like it's something to strive for
The girl tearing the curtains down looks funny as hell
And of sense of humor can there be any doubt
Yeah well natural selection has weeded it out
Used to keep me from laughing out loud
But that's gone
We don't think that way no more
That's gone, turn around, turn the volume down
We're counting the days down
Well I've seen some old friends sort of die
Or just turn into whatever
Must've been inside them
And whatever all of us had then in common
Grew up and left home
We don't think that way no more
Turn around, turn the volume down
We're counting the days down

Vidéo - inédit, Live Stockholm, Suède, 3/12/1997

Des regards vides s'illuminent sur l'écran
Des larmes coulent lentement et se brisent
De la novocaïne dans nos cerveaux et on s'éteint comme des lumières
En vieillissant, je m'ennuie
Je me souviens du temps où la misère me procurait bien plus de sensations fortes
Quand je ne pouvais pas me détendre
Et que j'aurais aimé revenir en arrière
Mais c'est fini
Ouais, c'est fini, Retourne-toi
Baisse le son
On compte les jours qui nous séparent
Du jour où on vivra dans une vidéo
Je serai impassible et pâle
Tu feras la moue en stéréo
24 heures par jour, tous les jours de l'année
Oh, quel plaisir, j'ai hâte que l'avenir arrive
On se rapproche de la douleur et de la torture
Il claque les portes comme s'il s'agissait d'un objectif à atteindre
La fille qui arrache les rideaux a l'air sacrément drôle
Et peut-on douter de son sens de l'humour
Eh bien, la sélection naturelle l'a éliminé
Elle m'empêchait de rire à gorge déployée
Mais c'est fini
On ne pense plus comme ça
C'est fini, retourne-toi, baisse le son
On compte les jours qui nous séparent
J'ai vu certains vieux amis mourir en quelque sorte
Ou se transformer en quelque chose
Qui devait être en eux
Et tout ce que nous avions en commun à l'époque
A grandi et a quitté le domicile familial
On ne pense plus comme ça
Retourne-toi, baisse le son
On compte les jours qui nous séparent