Lyrics Bruch - II Adagio - Christian Ferras , Philharmonia Orchestra
Voici
venir
les
temps
où
vibrant
sur
sa
tige
Chaque
fleur
s′évapore
ainsi
qu'un
encensoir
Les
sons
et
les
parfums
tournent
dans
l′air
du
soir
Valse
mélancolique
et
langoureux
vertige!
Chaque
fleur
s'évapore
ainsi
qu'un
encensoir
Le
violon
frémit
comme
un
cœur
qu′on
afflige
Valse
mélancolique
et
langoureux
vertige!
Le
ciel
est
triste
et
beau
comme
un
grand
reposoir
Le
violon
frémit
comme
un
cœur
qu′on
afflige
Un
cœur
tendre,
qui
hait
le
néant
vaste
et
noir!
Le
ciel
est
triste
et
beau
comme
un
grand
reposoir
Le
soleil
s'est
noyé
dans
son
sang
qui
se
fige
Un
cœur
tendre,
qui
hait
le
néant
vaste
et
noir
Du
passé
lumineux
recueille
tout
vestige!
Le
soleil
s′est
noyé
dans
son
sang
qui
se
fige
Ton
souvenir
en
moi
luit
comme
un
ostensoir!
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