Lyrics L'enfant qui dort - Francis Cabrel
                                                Laissez 
                                                rêver 
                                                l'enfant 
                                                qui 
                                                dort
 
                                    
                                
                                                Aux 
                                                fumées 
                                                bleues 
                                                des 
                                                châteaux-forts
 
                                    
                                
                                                Laissez-lui 
                                                démonter 
                                                le 
                                                ciel
 
                                    
                                
                                                Dehors, 
                                                c'est 
                                                toujours 
                                                pareil
 
                                    
                                
                                                C'est 
                                                toujours 
                                                pareil
 
                                    
                                
                                                Le 
                                                coin 
                                                des 
                                                rues 
                                                comme 
                                                des 
                                                frontières
 
                                    
                                
                                                Est 
                                                toujours 
                                                penser 
                                                    à 
                                                se 
                                                taire
 
                                    
                                
                                                La 
                                                ville 
                                                encerclée 
                                                sous 
                                                le 
                                                gel
 
                                    
                                
                                                Depuis, 
                                                c'est 
                                                toujours 
                                                pareil
 
                                    
                                
                                                Le 
                                                temps 
                                                malmène 
                                                ces 
                                                hommes 
                                                qui 
                                                traînent 
                                                le 
                                                poids 
                                                de 
                                                leur 
                                                corps
 
                                    
                                
                                                Leurs 
                                                phrases 
                                                vides, 
                                                leurs 
                                                larmes 
                                                sèches
 
                                    
                                
                                                Leurs 
                                                années 
                                                d'effort
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                rues 
                                                immenses 
                                                où 
                                                le 
                                                givre 
                                                s'avance 
                                                et 
                                                la 
                                                patrouille 
                                                dehors
 
                                    
                                
                                                C'est 
                                                    à 
                                                peine 
                                                si 
                                                les 
                                                pavés 
                                                résonnent
 
                                    
                                
                                                Sous 
                                                le 
                                                pas 
                                                lourd 
                                                des 
                                                moitiés 
                                                d'homme
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                mains 
                                                fermées 
                                                sur 
                                                leur 
                                                colère
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                yeux 
                                                comme 
                                                privés 
                                                de 
                                                lumière
 
                                    
                                
                                                Peut-être 
                                                un 
                                                jour 
                                                si 
                                                Dieu 
                                                s'en 
                                                mêle
 
                                    
                                
                                                La 
                                                pluie 
                                                remontera 
                                                au 
                                                ciel
 
                                    
                                
                                                Vers 
                                                nos 
                                                immobiles 
                                                remords
 
                                    
                                
                                                Mais 
                                                c'est 
                                                toujours 
                                                pareil 
                                                dehors
 
                                    
                                
                                                Le 
                                                temps 
                                                malmène 
                                                ces 
                                                hommes 
                                                qui 
                                                traînent 
                                                le 
                                                poids 
                                                de 
                                                leur 
                                                corps
 
                                    
                                
                                                Leurs 
                                                phrases 
                                                vides, 
                                                leurs 
                                                larmes 
                                                sèches
 
                                    
                                
                                                Leurs 
                                                années 
                                                d'effort
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                rues 
                                                immenses 
                                                où 
                                                le 
                                                givre 
                                                s'avance 
                                                et 
                                                la 
                                                patrouille 
                                                dehors
 
                                    
                                
                                                (Et 
                                                s'il 
                                                veut 
                                                vivre 
                                                si 
                                                longtemps)
 
                                    
                                
                                                (Surtout 
                                                laissez 
                                                rêver 
                                                l'enfant)
 
                                    
                                Attention! Feel free to leave feedback.
                 
             
                                                         
                                                         
                                                        ![Исполнитель Francis Cabrel, альбом Suzanne (Les yeux fermés) [Live]](https://pic.Lyrhub.com/img/u/o/4/h/sevadjh4ou.jpg) 
                                                         
                                                         
                                                         
                                                         
                                                        