Fréhel - Chanson tendre Lyrics

Lyrics Chanson tendre - Fréhel



Comme aux beaux jours de nos vingt ans, (En souvenir de nos vingt ans)
Par ce clair matin de printemps, (Par ce beau matin de .)
J'ai voulu revoir tout là-bas,
L'auberge au milieu des lilas.
On entendait sous les branches, (On entendait dans .)
Les oiseaux chanter dimanche
Et ta chaste robe blanche,
Paraissait guider mes pas.
Tout avait l'air à sa place,
Même ton nom dans la glace,
Juste à la place s'efface,
Quoi qu'on fasse,
Toute trace.
Et je croyais presqu'entendre
Ta voix tendre murmurer
"Viens plus près"
J'étais ému comme autrefois
Dans cette auberge au fond des bois,
J'avais des larmes dans les yeux (J'avais des larmes pleins .)
Et je trouvais ça merveilleux.
Durant toute la journée,
Après tant et tant d'années, (Dans la chambre abandonnée)
Dans ta chambre abandonnée, (Depuis tant et tant d'années)
Je nous suis revus tous deux.
Mais rien n'était à sa place;
Je suis resté, tête basse,
À me faire dans la glace
Face à face
La grimace...
Enfin j'ai poussé la porte,
Que m'importe
N. I. NI
C'est fini
Pourtant quand descendit le soir
Je suis allé tout seul m'asseoir (Je suis venu tout seul m'asseoir)
Sur le banc de bois vermoulu
tu ne revins jamais plus.
Tu me paraissais plus belle,
Plus charmante, plus cruelle
Qu'aucune de toutes celles
Pour qui mon cur a battu.
Et je rentrai, l'âme lasse,
Chercher ton nom dans la glace (Tout avait l'air à sa place)
Juste à la place s'efface (Même ton nom sur la glace)
Quoi qu'on fasse
Toute trace.
Mais avec un pauvre rire (Puis avec un pauvre rire)
J'ai cru lire:
"Après tout,
On' s'en fout."



Writer(s): Philippe Marie Georges Maurice Lhommet


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