Lyrics Des bouts de moi - Jean-Jacques Goldman
J′ai
laissé
dans
mon
rétroviseur
Loin
au
milieu
d'un
décor
Des
images
impressions
et
couleurs
Et
des
flashs,
et
des
cris
qui
s′emmêlent
et
me
collent
au
corps
Blanc,
le
silence
avant
vous
Noire,
la
scène
avant
les
coups
Longue,
longue,
l'attente
de
vous
voir
Et
nos
bras,
nos
regards
au
moment
de
se
dire
bonsoir
Bonsoir
J'ai
laissé
des
bouts
de
moi
au
creux
de
chaque
endroit
Un
peu
de
chair
à
chaque
empreinte
de
mes
pas
Des
visages
et
des
voix
qui
ne
me
quittent
pas
Autant
de
coups
au
cœur
et
qui
tuent
chaque
fois
Une
ville
que
la
nuit
rend
imaginaire
Une
route
qu′on
prend
comme
on
reprend
de
l′air
Et
les
papillons
retournent
brûler
leurs
ailes
Pour
toucher
la
lumière
Pour
énerver
l'hiver
Pour
un
peu
d′éphémère
L'hôtel,
la
même
chambre,
hier
Gestes,
compte
à
rebours,
horaire
Tests,
rassurants,
quotidiens
Les
choses
aussi
retiennent
leur
souffle
et
puis
le
moment
vient
Brûlent
les
lights
et
vos
regards
Volent,
vos
voix
dans
nos
guitares
Belles,
les
mains
des
musiciens
Et
vos
yeux
que
n′éteindra
jamais
un
sommeil
artificiel
Han
J'ai
laissé
des
bouts
de
moi
au
creux
de
chaque
endroit
Un
peu
de
chair
à
chaque
empreinte
de
mes
pas
Des
visages
et
des
voix
qui
ne
me
quittent
pas
Autant
de
coups
au
cœur
et
qui
tuent
chaque
fois
Une
ville
que
la
nuit
rend
imaginaire
Une
route
qu′on
prend
comme
on
reprend
de
l'air
Et
les
papillons
retournent
brûler
leurs
ailes
Pour
toucher
la
lumière
Pour
énerver
l'hiver
Pour
un
peu
d′éphémère
J′ai
laissé
des
bouts
de
moi
au
creux
de
chaque
endroit
Un
peu
de
chair
à
chaque
empreinte
de
mes
pas
Des
visages
et
des
voix
qui
ne
me
quittent
pas
Autant
de
coups
au
cœur
et
qui
tuent
chaque
fois
Un
matin
pour
s'étonner
de
nos
impudeurs
Signatures,
alibis,
mais
il
est
déjà
l′heure
Et
les
papillons
retournent
brûler
leurs
ailes
Pour
toucher
la
lumière
Pour
énerver
l'hiver
Pour
que
tout
s′accélère
Ho
J'ai
laissé
des
bouts
de
moi
au
creux
de
chaque
endroit
Un
peu
de
chair
à
chaque
empreinte
de
mes
pas
Des
visages
et
des
voix
qui
ne
me
quittent
pas
Autant
de
coups
au
cœur
et
qui
tuent
chaque
fois
Une
ville
que
la
nuit
rend
imaginaire
Une
route
qu′on
prend
comme
on
reprend
de
l'air
Et
les
papillons
retournent
brûler
leurs
ailes
Pour
toucher
la
lumière
Pour
énerver
l'hiver
Pour
un
peu
d′éphémère
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