Lyrics Attrape-rêves - Lorage
Si
j'réussi,
c'est
dû
ni
au
hasard
ni
à
la
chance
À
la
naissance
j'ai
prêté
allégeance
à
l'art
d'incarner
la
légende
Avec
mes
rêves,
pas
l'droit
d'être
paresseux
Plus
l'droit
à
l'erreur
si
la
fille
que
j'aime
apparait
seule
C'est
dû
ni
au
hasard
ni
à
la
chance
À
la
naissance
j'ai
prêté
allégeance
à
l'art
d'incarner
la
légende
Avec
mes
rêves,
pas
l'droit
d'être
paresseux
Pas
l'droit
à
l'erreur
et
la
fille
que
j'aime
apparait
seule
Après
avoir
perçé,
après
la
traversée
Est-ce
que
vous
m'accuserez
aussi
de
commencer
à
commercer?
Les
erreurs
du
passé
s'apprennent
Je
veux
pas
savoir
comment
demain
s'appelle
À
chaque
jour
suffit
sa
peine
Je
veux
pas
bruler
mes
ailes
Même
si
la
misère
est
plus
belle
au
Soleil
Je
préfère
ma
terre
émotionnelle
Perdez
pas
la
tête
à
tenter
d'entrer
dans
la
mienne
Escalade
himalayenne
à
finir
noyé
dans
la
bière
Je
sais
pas,
j'ai
plus
confiance
en
moi
J'me
promet,
j'me
trahit,
pour
me
confesser
cent
fois
Chaque
matin
je
doute,
est-ce
que
je
vais
dormir
par
terre
La
famille
sans
toi
c'est
un
toit
sans
ses
murs
porteurs
J'resterai
loyal
envers
ma
tribu
Parce
que
je
jouerai
pas
ce
rôle
ingrat
que
Babylone
m'attribue
Être
artiste
pour
garder
les
pieds
sur
terre
Un
pied
dans
la
matrice
et
l'autre
en
trajectoire
incertaine
Mes
cauchemars
m'avaient
promis
qu'ils
me
rattraperaient
Bienvenue
dans
la
maison
où
les
pièces
sont
remplies
d'attrape-rêves
Le
négatif
s'est
développé,
j'ai
trop
joué
dans
l'noir
Se
dévoile
les
photos
de
ma
mémoire
dans
la
baignoire
Tu
connais
cette
anxiété
qui
t'empêche
de
bouger,
de
manger,
de
penser
Effrayé
par
la
foule
et
le
désert
Quand
les
secondes
deviennent
des
heures
Dans
ces
cyclones,
les
docteurs
deviennent
des
archanges
Des
oiseaux
en
cage,
cette
beauté
que
l'homme
saccage
50
milliards
d'hectares
pour
que
le
bonheur
se
cache
Trop
d'années
à
s'repasser
ses
vieilles
cassettes
de
mon
passé
Ça
devenait
incensé,
j'voulais
tellement
être
insensible
À
quoi
ça
sert
de
ressentir
à
s'en
blesser
les
veines
Ces
montagnes
russes
qui
m'exaspèrent
et
osent
me
dire
que
j'exagère
C'est
très
rare
que
j'mennuie
et
quand
j'écris
j'm'enfuis
La
ritaline
me
pourrit
la
vie
mais
je
m'en
fiche
Mes
chances
refroidissent
tandis
que
l'alcool
me
réchauffe
Il
est
pas
trop
tard
si
tes
rêves
sont
encore
sain
et
sauf
Lentement,
la
vie
prend
son
sens
Ses
tourments
soufflant
le
vent
de
la
vengeance
au
tournant
Le
temps
s'accélère
et
on
a
pas
l'habitude
Les
plus
belles
heures
me
regardent
prendre
de
l'altitude
Y'a
du
taff,
jamais
satisfait
du
résultat
Shazammant
les
minutes
de
silence
entre
les
attentats
J'prends
le
chemin
de
moins
de
résistance
J'prends
la
censure
à
distance
Ses
yeux
qui
dévisagent
avec
insistance
Les
gens
me
connaissent
mais
je
reconnais
plus
les
gens
L'histoire
est
une
connasse
je
préfère
entrer
dans
la
légende
CV
en
désordre,
et
alors?
J'organise
mon
évasion
pour
plus
avoir
à
recevoir
des
ordres
Créer
le
scandale
dont
j'ai
besoin
et
je
commencerai
par
la
fin
J'ai
la
dalle
d'un
gosse
ammaigri
par
la
faim
J'dis
ce
que
j'pense
sans
tergiverser,
décès
des
faux
amis
Dans
mes
derniers
versets
sans
une
goute
de
sang
versée
J'travestirai
plus
ma
vie
pour
un
salaire
de
merde
J'ai
traversé
la
mer,
aujourd'hui
je
roule
en
sens
inverse
Mon
passeport
a
plus
de
tampons
que
mon
téléphone
J'rattraperai
mes
rêves
même
avec
mes
idées
folles
J'apprends
à
m'écouter,
à
croire
en
mes
couplets
Dans
l'obscurité
je
prends
la
force
du
bon
côté
Si
j'réussi,
c'est
dû
ni
au
hasard
ni
à
la
chance
À
la
naissance
j'ai
prêté
allégeance
à
l'art
d'incarner
la
légende
Avec
mes
rêves,
pas
l'droit
d'être
paresseux
Plus
l'droit
à
l'erreur
si
la
fille
que
j'aime
apparait
seule
C'est
dû
ni
au
hasard
ni
à
la
chance
À
la
naissance
j'ai
prêté
allégeance
à
l'art
d'incarner
la
légende
Avec
mes
rêves,
pas
l'droit
d'être
paresseux
Pas
l'droit
à
l'erreur
et
la
fille
que
j'aime
apparait
seule
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