Lyrics Faut se lacher - Ménélik

Pense à nous bébé
1, 2, 1, 2, 1, 2, test de micro 1, 2
Les conditions sont ce qu'elles sont
Je fais ce que je veux
C'est un monde d'hommes
Chaque jour quand confirme le constat
Qu'on se tape dessus passe encore
Mais certains tirent dans le tas
Je fais de l'argent comme un nourrisson ses premiers pas
Prise du vice, en aucun cas, la monnaie ne me la fera à l'envers
Envers et contre tout, je persévère
Positif, jusqu'au comble j'ignore les revers
Le féminin, le masculin, l'ange et le diablotin
L'esprit se partage, rejette le choix manichéen
Le mal est là, le mal dirige, le mal nous accule
Le feu s'en mêle et dès lors mon cerveau brûle

Le masculin me pousse à présent faut se lâcher

Le féminin me retient pense à nous bébé
Le masculin me pousse à présent faut se lâcher

Le féminin me retient pense à nous bébé
1, 2, 1, 2, 1, 2, test de micro 1, 2
Les conditions sont ce qu'elles sont
Je fais ce que je veux
L'existence m'importe
Je m'y accorche même parfois je ris
Nouveau prototype, j'suis pas le genre de type qui flippe
Le féminin m'a aidé par sa beauté, j'ai été torturé
Le masculin tend la main pour me noyer
Je m'en suis remis car on s'en remet toujours à autrui

Erreur chacun se doit de finir son parcours

Le masculin me pousse à présent faut se lâcher
Le féminin me retient pense à nous bébé

Plus de pression
Menelik dans les environs
Pense à nous bébé

L'existence m'importe
Je m'y accorche même parfois je ris
Nouveau prototype, j'suis pas le genre de type qui flippe

1, 2, 1, 2, 1, 2, test de micro 1, 2
Les conditions sont ce qu'elles sont
Je fais ce que je veux
Et quand le féminin rencontre le masculin ou vice-versa
Une pièce à conviction que le grefier au dossier versera
Se fait jour, bout de chair, fruit de l'amour
L'endroit qu'on ne se méprend pas ne peut-on éviter les tours
Comme désuni qui a un mystère à élucider
Lucifer, la jeune fille trop seule pour se protéger

Envole-moi, loin de ces lieux qui ne lâchent pas
Envole-moi, l'indic se sert de moi comme appât
Les macros grossissent, les jeunes filles sur la pomme glissent
Trop tôt parti un jour, marre d'habiter la tour six

Le masculin me pousse à présent faut se lâcher
Le féminin me retient pense à nous bébé (