Lyrics Cyberdeath - SKRIZ
Je
compte
même
plus
l'nombre
d'enseignes
qu'il
faudrait
boycotter
Des
vies
ligotées,
mais
bon
j'me
roule
un
teh
sur
le
toit
d'à
côté
J'téma
les
gens
qui
font
semblant
d'avoir
du
monde
au
tel
Qui
sauteront
d'leur
hôtel,
puis
j'me
rappelle
que
j'ai
les
pieds
dans
le
vide
Et
que
je
pourrais
sauter
La
vie
d'ma
mère
qu'on
est
haut
Et
putain
qu'est-ce
qu'on
est
beau
Ouais,
putain
qu'est-ce
qu'on
est
beau
Et
on
l'est
parce
qu'on
y
croit
Tu
vois,
le
shit
qui
colle
aux
doigts,
c'est
pour
mieux
s'accrocher
Combien
j'admirais,
finissent
sous
crack
ou
disparaissent
juste
le
temps
d'un
hiver
Fond
comme
la
neige,
monte
comme
la
chaleur
des
flammes
Le
froid
ça
créé
des
drames,
mais
j'y
pense
quand
je
suis
sous
mes
draps
C'est
beau
d'avoir
des
fans,
mais
d'y
moi
qui
d'entre
eux
m'aidera
Maintenant
qu'le
temps
est
optimal
et
qu'on
s'donne
du
love
digital
Les
datas
définissent
mon
art,
mais
le
SKRIZ
aime
ce
qui
est
de
véritable,
ma
gueule
J'ai
peur
de
les
perdre
ma
gueule
À
force
de
stresser
pour
les
autres,
combien
m'ont
confessé
leurs
fautes
Comme
si
je
ressentais
pas
les
choses
J'aimerais
sauver
des
vies,
marquer
les
gens,
faire
des
modifs
J'suis
émotif,
je
me
pose
autant
de
questions
que
j'reçois
de
notifs,
ah
ouais
Je
fais
de
la
zic,
sa
mère,
pour
la
culture,
laisser
des
traces,
éviter
de
disparaître,
non
Comme
si
on
était
déjà
plus
àl
Entre
les
likes
et
toutes
vos
statistiques
Ils
font
que
m'parler
d'audimats
Ils
font
que
m'parler
de
faire
du
chiffre,
gérer
l'algorithme,
faire
des
feats
Pas
prendre
de
risque
et
faire
50
fois
le
même
titre
On
fait
ça
pour
le
kiff,
pour
se
sentir
vivre
Pas
pour
ajouter
des
billets
dans
des
poches
loin
d'être
vide
Putain
d'maison
de
disques,
putain
de
vie
d'artiste
J'arrive
l'album
est
énervé,
on
gère
la
com
comme
NFT
Ça
créé
des
gosses
qui
aiment
trop
la
thune
qui
voient
par
leur
vie
s'élever
Des
graphistes
sous-payés,
des
ingés
sous-payés
On
te
paye
en
vues,
laisse-les
en
vue,
on
verra
ce
que
dit
ton
banquier
Ils
négligent
tous
l'art,
pourtant
ça
consomme
comme
des
porcs
Si
tu
parles
vrai
ça
te
ferme
des
portes,
si
tu
parles
trop
ça
te
pète
les
côtes
Tu
penses
que
j'avance
sur
ma
carrière,
mais
j'ai
trois
jobs
sur
l'té-co
J'ai
peur
des
cons,
pour
ça
que
j'ai
peur
des
autres
C'est
pour
ça
qu'on
se
déco,
qu'on
se
roule
des
connes
et
qu'on
décolle
Très
loin
des
fous
des
codes,
des
coups
des
cops,
dégoûté
par
les
coms,
je
parcours
les
postes
Et
je
vois
qu'ça
rend
fou
les
hommes
Fuck
les
payes,
yeah
Fuck
les
Fuck
les
payes
Fuck
les
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