Lyrics Boulevard des capucines - Live Salle Pleyel 2008 - Étienne Daho
                                                Ton 
                                                nom 
                                                qui 
                                                tout 
                                                là-haut 
                                                scintille
 
                                    
                                
                                                Est 
                                                le 
                                                même 
                                                que 
                                                le 
                                                mien
 
                                    
                                
                                                C'est 
                                                l'Olympia 
                                                qui 
                                                célèbre
 
                                    
                                
                                                Ton 
                                                étoile 
                                                qui 
                                                là-haut 
                                                s'élève
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                je 
                                                vis 
                                                ton 
                                                succès 
                                                de 
                                                loin,
 
                                    
                                
                                                Sur 
                                                scène, 
                                                tu 
                                                es 
                                                le 
                                                centre
 
                                    
                                
                                                La 
                                                foule 
                                                aimante 
                                                vacille
 
                                    
                                
                                                J'observe, 
                                                lorsque 
                                                tu 
                                                chantes,
 
                                    
                                
                                                Que 
                                                brillent 
                                                les 
                                                yeux 
                                                des 
                                                filles
 
                                    
                                
                                                Je 
                                                n'approcherai 
                                                pas 
                                                les 
                                                loges
 
                                    
                                
                                                Où 
                                                l'on 
                                                te 
                                                couvre 
                                                d'amitié 
                                                et 
                                                d'éloges
 
                                    
                                
                                                Car 
                                                la 
                                                pudeur 
                                                me 
                                                le 
                                                défend,
 
                                    
                                
                                                De 
                                                loin, 
                                                tu 
                                                sembles 
                                                fort 
                                                et 
                                                grave
 
                                    
                                
                                                Plus 
                                                que 
                                                les 
                                                garçons 
                                                de 
                                                ton 
                                                âge
 
                                    
                                
                                                Comme 
                                                lorsque 
                                                tu 
                                                étais 
                                                enfant,
 
                                    
                                
                                                Rue 
                                                Caumartin, 
                                                je 
                                                te 
                                                guette
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                l'appréhension 
                                                me 
                                                vide,
 
                                    
                                
                                                Tous 
                                                ces 
                                                regrets 
                                                douloureux
 
                                    
                                
                                                Me 
                                                rongent 
                                                comme 
                                                l'acide
 
                                    
                                
                                                Je 
                                                te 
                                                demande 
                                                par 
                                                cette 
                                                lettre,
 
                                    
                                
                                                Mon 
                                                garçon,
 
                                    
                                
                                                De 
                                                m'accorder 
                                                ton 
                                                pardon
 
                                    
                                
                                                Tu 
                                                sais, 
                                                quelle 
                                                connerie 
                                                ma 
                                                jeunesse!
 
                                    
                                
                                                Mon 
                                                silence, 
                                                quelle 
                                                erreur, 
                                                quelle 
                                                perte 
                                                de 
                                                temps!
 
                                    
                                
                                                Si 
                                                je 
                                                n'ai 
                                                pas 
                                                su 
                                                te 
                                                dire 
                                                    à 
                                                temps
 
                                    
                                
                                                Que 
                                                je 
                                                pensais 
                                                    à 
                                                toi, 
                                                tout 
                                                le 
                                                temps,
 
                                    
                                
                                                Mon 
                                                guerrier, 
                                                mon 
                                                roi, 
                                                mon 
                                                petit 
                                                prince
 
                                    
                                
                                                Epris 
                                                de 
                                                femmes 
                                                et 
                                                de 
                                                vie 
                                                légère
 
                                    
                                
                                                J'ai 
                                                tant 
                                                aimé, 
                                                je 
                                                suis 
                                                sincère,
 
                                    
                                
                                                L'étreinte 
                                                de 
                                                la 
                                                liberté,
 
                                    
                                
                                                Ni 
                                                mari, 
                                                ni 
                                                père 
                                                et 
                                                volage,
 
                                    
                                
                                                Courant 
                                                d'air 
                                                et 
                                                de 
                                                passage,
 
                                    
                                
                                                Sauras-tu 
                                                me 
                                                regarder?
 
                                    
                                
                                                Mais 
                                                tu 
                                                ignores 
                                                mes 
                                                signes
 
                                    
                                
                                                Toi, 
                                                mon 
                                                cruel 
                                                funambule,
 
                                    
                                
                                                Alors 
                                                je 
                                                crache 
                                                ces 
                                                lignes
 
                                    
                                
                                                Fracassé 
                                                et 
                                                somnambule
 
                                    
                                
                                                Je 
                                                te 
                                                demande 
                                                par 
                                                cette 
                                                lettre,
 
                                    
                                
                                                Mon 
                                                garçon,
 
                                    
                                
                                                De 
                                                m'accorder 
                                                ton 
                                                pardon
 
                                    
                                
                                                Tu 
                                                sais, 
                                                quelle 
                                                atrocité, 
                                                cette 
                                                guerre!
 
                                    
                                
                                                Mon 
                                                départ, 
                                                quelle 
                                                erreur, 
                                                quelle 
                                                perte 
                                                de 
                                                temps!
 
                                    
                                
                                                Si 
                                                je 
                                                n'ai 
                                                pas 
                                                su 
                                                te 
                                                dire 
                                                    à 
                                                temps
 
                                    
                                
                                                Que 
                                                tu 
                                                m'as 
                                                manqué 
                                                tout 
                                                le 
                                                temps,
 
                                    
                                
                                                Mon 
                                                guerrier, 
                                                mon 
                                                roi, 
                                                mon 
                                                petit 
                                                prince,
 
                                    
                                
                                                Mon 
                                                petit 
                                                prince,
 
                                    
                                
                                                Pardon
 
                                    
                                 
                            1 If - Live Salle Pleyel 2008
2 L'introvitation (Live Salle Pleyel 2008)
3 Jungle Pulse - Live Salle Pleyel 2008
4 Cet air étrange - Live Salle Pleyel 2008
5 Rendez-vous à Vedra - Live Salle Pleyel 2008
6 Les fleurs de l'interdit - Live Salle Pleyel 2008
7 Un merveilleux été - Live Salle Pleyel 2008
8 Des attractions désastre - Live Salle Pleyel 2008
9 Sur mon cou - Live Salle Pleyel 2008
10 La baie - Live Salle Pleyel 2008
11 L'enfer enfin - Live Salle Pleyel 2008
12 Saudade - Live Salle Pleyel 2008
13 Comme un igloo - Live Salle Pleyel 2008
14 Des heures hindoues - Live Salle Pleyel 2008
15 Rendez-vous au jardin des plaisirs - Live Salle Pleyel 2008
16 Boulevard des capucines - Live Salle Pleyel 2008
17 Le premier jour (Du reste de ta vie) - Live Salle Pleyel 2008
18 Obsession - Live Salle Pleyel 2008
19 L'invitation - Live Salle Pleyel 2008
20 Ouverture - Live Salle Pleyel 2008
21 Mythomane (Live Salle Pleyel 2008)
22 Promesses - Live Salle Pleyel 2008
23 Le grand sommeil - Live Salle Pleyel 2008
24 Comme un boomerang - Live Salle Pleyel 2008
25 Paris le Flore - Live Salle Pleyel 2008
26 Cap Falcon - Live Salle Pleyel 2008
27 Mythomane (Studio Version 09; Titre Bonus)
Attention! Feel free to leave feedback.
                 
                                                         
                                                         
                                                         
                                                         
                                                         
                                                        