paroles de chanson Les somnambules (with Olivia Ruiz) - Aldebert

Mes parents m'avaient dis
De ne pas sortir du lit
Dés que tombe le jour
Morphée me joue des tours.
Rêve ou réalité
On peut t'être alité
C'est une drôle de posture
Pour vivre l'aventure
Je vadrouille assoupi
Sur les toits de Paris
Debout bien malgré moi
Je traîne en pyjama
Équilibre précaire
Petit gars de gouttière
Que me vaut la fortune
De flâner sous la lune
C'est le slalom des funambules
Au moindre somme
On déambule
Somnambules, somnambules
J'ai croisé vers minuit
Une belle endormie
Je voulais prendre l'air
Les yeux grands ouverts
J'ai voulu c'est idiot
Lui glisser quelques mots
Mais comment se parler
Lorsqu'on dort à moitié
Ceci n'est pas un rêve
Car quand le jour se lève
Je garde dans mon cou
La trace de ses bisous
J'attendrai aujourd'hui
L'égérie de minuit
Que j'appelle tendrement
Ma belle toi dormant
C'est le slalom des funambules
Au moindre somme
On déambule
Somnambules, somnambules
Elle me donne son bras tendu
Princesse suspendu
Je t'emmène danser
Rentre les cheminées
Cette valse à trois temps
Aux sujets somnolent
Dans le ciel du printemps
Nous effectuerons câlin
Sous les regards félin
Petits pas entre chats
Sur un nerf de Javas
Si ils ne ceux du lit
Ne m'en manquera pas si
Des amants endormis
À ma rêveuse chérie
Debout sur chien assis
Sur les hauts de Paname
Je déclarais ma flamme
À ceux qui vagabondent
Somnambule du monde
Ne vous réveillez pas
L'amour est sur les toits
C'est le slalom des funambules
Au moindre somme
On déambule
Somnambules, somnambules
Somnambules, somnambules