paroles de chanson Noctambule - Aldebert
Quand
le
ciel
est
trop
bleu,
vide
et
pur
Ils
attendent
les
mille
constellations
Se
retrouvent
par
hasard,
sous
l′oeuil
de
la
nuit
La
lune
les
regarde
échanger
leurs
passions
Les
curs
s'ouvrent
et
les
langues
se
délient
Ils
profitent
à
grands
coups
de
sourires
Du
bonheur
qu′ils
n'ont
pas
encore
goûté
Qu'ils
ont
su
jusque
là
retenir
Bloquer
les
aiguilles
du
compte
à
rebours
Freiner
l′hémorragie
du
temps
qui
cours
Vivre
la
nuit
Dormir
le
jour
Vivre
la
vie
Au
jour
le
jour
Ils
se
prélassent,
se
ramassent
et
s′enlacent
Les
yeux
brillants
de
se
savoir
aimé
Là
où
ils
ont
encore
un
peu
la
place
Dans
la
fièvre,
d'une
vie,
décadente
et
décalée
Bières
de
Cerne
de
tanières
en
tavernes
Ils
blanchissent
leurs
nuits
de
refrains
Quand
le
courroux
de
la
ville
s′apaise
Ils
comptent
leur
chance
d'atteindre
le
matin
Bloquer
les
aiguilles
du
compte
à
rebours
Freiner
l′hémorragie
du
temps
qui
cours
Vivre
la
nuit
Dormir
le
jour
Vivre
la
vie
Au
jour
le
jour
Puisque
leurs
corps
les
rappellent
au
sommeil
Ils
s'arrachent
en
silence
aux
clameurs
invaincues
A
repousser
le
jour
refusant
de
le
croire
Ils
s′effondrent
en
vain,
mais
savent
qu'ils
ont
vécu
Bloquer
les
aiguilles
du
compte
à
rebours
Freiner
l'hémorragie
du
temps
qui
cours
Vivre
la
nuit
Dormir
le
jour
Vivre
la
vie
Au
jour
le
jour
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