Jacques Offenbach, Nicolai Gedda/André Mallabrera/Choeurs René Duclos/André Cluytens/Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire & Andre Cluytens - Les Contes d'Hoffmann (1989 Digital Remaster), Act I: Chanson et scène: Va pour Kleinzach! (Légende de Kleinzach: Hoffmann/Choeurs/Nathanaël) paroles de chanson
Jacques Offenbach, Nicolai Gedda/André Mallabrera/Choeurs René Duclos/André Cluytens/Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire & Andre Cluytens Les Contes d'Hoffmann (1989 Digital Remaster), Act I: Chanson et scène: Va pour Kleinzach! (Légende de Kleinzach: Hoffmann/Choeurs/Nathanaël)

Les Contes d'Hoffmann (1989 Digital Remaster), Act I: Chanson et scène: Va pour Kleinzach! (Légende de Kleinzach: Hoffmann/Choeurs/Nathanaël)

Jacques Offenbach , André Cluytens


paroles de chanson Les Contes d'Hoffmann (1989 Digital Remaster), Act I: Chanson et scène: Va pour Kleinzach! (Légende de Kleinzach: Hoffmann/Choeurs/Nathanaël) - Jacques Offenbach , André Cluytens




Ah!
Cour Kleinzach
Il était une fois à la cour d'Eisenach
À la cour d'Eisenach
Un petit avorton qui se nommait Kleinzach
Qui se nommait Kleinzach
Il était coiffé d'un colback et ses jambes, ses
Jambes faisaient clic-clac, clic-clac, clic-clac
Voilà, voilà Kleinzach
Clic-clac
Clic-clac
Clic-clac
Clic-clac
Voilà, voilà Kleinzach
Il avait une bosse en guise d'estomac
En guise d'estomac
Se fit ramifier, semblait sortir d'un sac
Semblait sortir d'un sac
Son nez était noir de tabac et sa tête, sa tête faisait
Cric crac, cric crac, cric crac, voilà, voilà Kleinzach
Cric crac
Cric crac
Cric crac
Cric crac
Voilà, voilà Kleinzach
Quant aux traits, aux traits de sa figure
Aux traits de sa figure
Quant aux traits, aux traits de sa figure, ah!
Sa figure était charmante
Je la vois, belle, belle comme le jour où, courant
Après elle, je quittai comme un fou la maison paternelle
Et m'enfuis à travers les vallons et les lots
Ses cheveux, ses cheveux en persanes sombres sur
Son cœur et les vosges faisaient chaudes ombres
Ses yeux, ses yeux enveloppés d'azur promenaient
Autour d'elle un regard frais et pur
Et comme notre char emporte sans secousse nos cœurs et nos
Amours sa voix vibrante et douce aux cieux qui l'écoutaient
Jetait ce chant vainqueur aux cieux qui l'écoutaient, jetait
Ce chant vainqueur dont l'éternel écho résonne dans mon cœur
Ô bizarre Cerbère!
Qui diable peins-tu là?
Kleinzach?
Kleinzach?
Je parle d'elle
Qui?
Non personne?
Rien?
Mon esprit se trouble
Rien?
Et Kleinzach vaut mieux, l'uniforme qu'il est
Quand il avait trop bu de genièvre ou de rac
De genièvre ou de rac
Il fallait voir flotter les deux pans de son frac
Les deux pans de son frac
Comme des herbes dans un lac
Et le monstre, le monstre faisait flic-flac, flic-flac, flic-flac
Voilà, voilà Kleinzach
Flic-flac
Flic-flac
Flic-flac
Flic-flac
Voilà, voilà Kleinzach



Writer(s): J. Offenbach, Michael Kaye



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