paroles de chanson Par la fenêtre - Daphne
Le
ciel
était
engourdi
et
je
m'étais
endormie
sur
tes
lettres.
Elles
ne
faisaient
pas
de
bruit,
sous
le
jardin
alangui
comme
un
jour
d'hiver.
Mais
je
sais
qu'aujourd'hui
leurs
chants
m'ont
saisi
Par
La
Fenêtre.
Et
que
ta
voix
m'a
pris
de
te
voir
ici
par
ces
lettres.
Oui,
le
silence
me
tue
comme
le
sort
retenu
d'un
vieu
sortilège.
Et
si
je
ne
t'ai
jamais
lu
c'est
pour
taire
l'imposture
que
je
cache
sans
cesse.
Vois,
on
m'a
dit
d'oublier
de
penser
à
t'aimer
mais
je
cherche
Dans
mes
venues,
mes
allers
celles
qui
n'auraient
pas
été-là
pour
te
plaire.
J'ai
toujours
gardé
un
oeil
pour
écouter
ces
mots
sur
le
papier,
et
voir
si
un
jour
ils
me
parleraient.
Je
t'ai
toujours
rêvé
Par
La
Fenêtre
où
je
t'appelais,
Par
La
Fenêtre
où
je
t'enchantais.
Et
pour
te
rencontré,
j'aurais
fait
de
la
tête
aux
pieds,
le
tour
de
la
Terre.
Quand
il
me
suffisait
de
te
lire
ouvert,
pour
te
connaître.
Je
voulais
que
tu
sois,
magicien
ou
roi
pour
que
tu
apparaisses.
A
travers
les
miroirs,
à
travers
les
regards.
Je
voulais
que
tu
me
cherches.
J'ai
toujours
gardé
un
oeil
pour
écouter
tes
mots
sur
le
papier,
et
voir
si
un
jour
ils
me
parleraient.
Je
t'ai
toujours
rêvé
Par
La
Fenêtre
où
je
t'appelais,
Par
La
Fenêtre
où
je
t'enchantais.
J'étais
de
ces
enfants-là
qui
rient
tout
le
temps
pour
ne
pas
montrer
qu'ils
s'inquiètent.
En
serrant
contre
moi
ces
trésors
de
toi,
ces
lettres
de
noblesse.
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