paroles de chanson Bateaux-Mouches - Eddy de Pretto
Quand
j'étais
gars
trop
moche,
chantant
sur
bateau-mouche
Avec
rien
dans
les
poches,
j'faisais
moins
la
fine
bouche
J'prenais
toutes
les
avances,
de
sourire
pas
très
cash
Fallait
bien
que
je
mange
pour
apaiser
ma
soif
Entrée,
plat
et
dessert,
je
reculais
l'attente
Des
gros
ventres
à
remplir
avec
chansons
badantes
Sur
mon
estrade
en
toc
que
je
prenais
pour
scène
J'me
sеntais
comme
un
coq
mais
j'flottais
que
sur
la
Seine
Maquillé
au
pinceau,
un
solo
pour
mariage
avec
costume
Celio
et
l'odeur
du
fromage
Je
posais
comme
il
faut
et
j'en
menais
pas
large
J'me
sentais
parfois
d'trop
entre
rêve
et
noyade
J'étais
lui
qu'on
n'voit
pas,
qui
s'glisse
entre
les
tables
J'entends
du
Rihanna
avec
un
accent
grave
Qui
sourit
à
chaque
fois
pour
faire
plaisir
mesdames
Faudrait
pas
que
messieurs
se
sentent
dragués
par
moi
Quand
j'étais
personne,
pleins
de
petits
tafs
d'automne
J'rêvais
d'idoles,
je
me
voyais
déjà
en
haut
Quand
j'avais
personne,
qu'une
soif
qui
déborde
J'rêvais
des
tonnes,
j'me
voyais
déjà
en
haut
et
c'était
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début
Je
découvrais
Paris,
comme
les
couples
étrangers
Tu
viens
d'où,
il
fait
gris,
où
on
laisse
tout
trop
laid
Des
monuments
crari,
m'emporter
comme
jamais
Je
n'avais
qu'une
envie,
m'installer
sur
c'pavé
À
chanter
toute
ma
vie,
pas
les
chansons
des
autres
J'en
avais
dans
le
vent,
pas
du
saumon,
Lenôtre
J'attendais
patiemment,
de
monter
sur
le
trône
Qu'on
reprenne
mes
chansons,
comme
je
reprends
"vie
en
rose"
Quand
j'étais
personne,
pleins
de
petits
tafs
d'automne
J'rêvais
d'idoles,
je
me
voyais
déjà
en
haut
Quand
j'avais
personne,
qu'une
soif
qui
déborde
J'rêvais
des
tonnes,
j'me
voyais
déjà
en
haut
et
c'était
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début
J'devais
quitter
mes
Nike,
les
laisser
sous
l'bateau
T'étais
pas
assez
classe
pour
l'image
de
ce
show
Je
n'avais
qu'une
hâte,
leur
montrer
c'que
je
vaux
Montrer
combien
je
fake,
que
gentleman
à
l'eau
Le
soir
j'm'improvisais
la
vedette
du
bateau
En
maquillant
mes
souhaits
au
parfum
du
ghetto
Tous
les
soirs
je
trinquais,
rêve
fou
d'mon
égo
En
attendant
j'réglais
mes
grands
rêves
au
chapeau
Quand
j'étais
personne,
pleins
de
p'tits
tafs
d'automne
J'rêvais
d'idoles,
je
me
voyais
déjà
en
haut
Quand
j'avais
personne,
qu'une
soif
qui
déborde
J'rêvais
des
tonnes,
j'me
voyais
déjà
en
haut
et
c'était
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début,
beau
Début,
début,
début
Quand
j'étais
gars
trop
moche,
chantant
sur
bateau-mouche
Avec
un
rien
dans
les
poches,
j'faisais
moins
la
fine
bouche
J'prenais
toutes
les
avances,
de
sourire
pas
très
cash
Fallait
bien
que
je
mange
pour
apaiser
ma
soif
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