paroles de chanson À l'aube revenant - Edit single - Francis Cabrel
                                                    À 
                                                l'aube 
                                                revenant
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                amants 
                                                se 
                                                relèvent
 
                                    
                                
                                                Descendent 
                                                de 
                                                leurs 
                                                rêves
 
                                    
                                
                                                Encore 
                                                ruisselant
 
                                    
                                
                                                Chaque 
                                                geste 
                                                est 
                                                urgent
 
                                    
                                
                                                Puisque 
                                                le 
                                                jour 
                                                se 
                                                lève
 
                                    
                                
                                                La 
                                                tempête 
                                                s'achève
 
                                    
                                
                                                En 
                                                murmures 
                                                brûlants
 
                                    
                                
                                                Il 
                                                s'étaient 
                                                perdus 
                                                dans
 
                                    
                                
                                                L'obscurité 
                                                profonde
 
                                    
                                
                                                Là, 
                                                les 
                                                étoiles 
                                                se 
                                                fondent
 
                                    
                                
                                                Au 
                                                jour 
                                                apparaissant
 
                                    
                                
                                                    À 
                                                leurs 
                                                pas 
                                                hésitants
 
                                    
                                
                                                On 
                                                sent 
                                                la 
                                                fin 
                                                du 
                                                monde
 
                                    
                                
                                                Encore 
                                                une 
                                                seconde
 
                                    
                                
                                                Encore 
                                                un 
                                                instant
 
                                    
                                
                                                Le 
                                                souffle 
                                                qu'on 
                                                entend
 
                                    
                                
                                                C'est 
                                                deux 
                                                cœurs 
                                                qui 
                                                s'arrachent
 
                                    
                                
                                                Une 
                                                main 
                                                se 
                                                détache
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                l'autre 
                                                la 
                                                reprend
 
                                    
                                
                                                Aux 
                                                yeux 
                                                l'égarement
 
                                    
                                
                                                Des 
                                                oiseaux 
                                                qu'on 
                                                relâche
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                qui 
                                                cherchent 
                                                où 
                                                se 
                                                cachent
 
                                    
                                
                                                Le 
                                                piège 
                                                qu'on 
                                                leur 
                                                tend
 
                                    
                                
                                                Au 
                                                moindre 
                                                éloignement
 
                                    
                                
                                                La 
                                                vie 
                                                qui 
                                                les 
                                                oblige
 
                                    
                                
                                                Le 
                                                vide, 
                                                le 
                                                vertige
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                faire 
                                                semblant
 
                                    
                                
                                                Ils 
                                                se 
                                                couvrent 
                                                de 
                                                serments
 
                                    
                                
                                                Se 
                                                jurent 
                                                de 
                                                poursuivre
 
                                    
                                
                                                Leurs 
                                                courses 
                                                    à 
                                                un 
                                                équilibre
 
                                    
                                
                                                Sur 
                                                les 
                                                pierres 
                                                des 
                                                torrents
 
                                    
                                
                                                    À 
                                                l'aube 
                                                revenant
 
                                    
                                
                                                Chacun 
                                                séparément
 
                                    
                                
                                                Continuera 
                                                le 
                                                rêve
 
                                    
                                
                                                Le 
                                                seul 
                                                qui 
                                                les 
                                                soulève
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                les 
                                                garde 
                                                vivants
 
                                    
                                
                                                C'est 
                                                éternellement
 
                                    
                                
                                                Qu'ils 
                                                se 
                                                croyaient 
                                                soudés
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                même 
                                                l'éternité
 
                                    
                                
                                                Pour 
                                                eux, 
                                                c'est 
                                                pas 
                                                assez 
                                                longtemps
 
                                    
                                
                                                Ils 
                                                étaient 
                                                deux 
                                                passants
 
                                    
                                
                                                Dans 
                                                l'anonyme 
                                                foule
 
                                    
                                
                                                Dans 
                                                ce 
                                                fleuve 
                                                qui 
                                                roule
 
                                    
                                
                                                Dans 
                                                la 
                                                masse 
                                                des 
                                                gens
 
                                    
                                
                                                Ils 
                                                se 
                                                sont 
                                                reconnus
 
                                    
                                
                                                Un 
                                                peu 
                                                trop 
                                                tard 
                                                peut-être
 
                                    
                                
                                                Mais 
                                                c'est 
                                                se 
                                                reconnaître
 
                                    
                                
                                                En 
                                                vrai 
                                                qu'est 
                                                important
 
                                    
                                
                                                    À 
                                                l'aube 
                                                revenant
 
                                    
                                
                                                Les 
                                                amants 
                                                se 
                                                relèvent
 
                                    
                                
                                                Descendent 
                                                de 
                                                leurs 
                                                rêves
 
                                    
                                
                                                Encore 
                                                ruisselant
 
                                    
                                 
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                                                        ![Исполнитель Francis Cabrel, альбом Suzanne (Les yeux fermés) [Live]](https://pic.Lyrhub.com/img/u/o/4/h/sevadjh4ou.jpg) 
                                                         
                                                         
                                                         
                                                        