paroles de chanson Je vous souhaite d'être follement aimée - Ibrahim Maalouf
Au
beau
printemps
de
1952
vous
viendrez
d'avoir
seize
ans
Et
peut-être
serez-vous
tentée
D'entrouvrir
ce
livre
dont
j'aime
à
penser
qu'euphoniquement
le
titre
Vous
sera
porté
par
le
vent
qui
courbe
les
aubépines...
Ma
toute
petite
enfant
qui
n'avez
que
huit
mois,
Qui
souriez
toujours,
Qui
êtes
faite
à
la
fois
comme
le
corail
et
la
perle,
Vous
saurez
alors
que
tout
hasard
a
été
rigoureusement
exclu
de
votre
venue,
Que
celle-ci
s'est
produite
à
l'heure
même
où
elle
devait
se
produire,
Ni
plus
tôt
ni
plus
tard
Et
qu'aucune
ombre
ne
vous
attendait
au-dessus
de
votre
berceau
d'osier.
Bien
longtemps
j'ai
pensé
que
la
pire
folie
était
de
donner
la
vie.
En
tout
cas
j'en
avais
voulu
à
ceux
qui
me
l'avait
donné.
Il
se
peut
que
vous
m'en
voulez
certains
jours,
C'est
même
pourquoi
j'ai
décidé
de
vous
regarder
à
seize
ans
alors
que
vous
ne
pouvez
m'en
vouloir.
Que
dis-je
de
vous
regarder,
Mais
non,
d'essayer
de
voir
par
vos
yeux,
de
me
regarder
par
vos
yeux.
Tous
les
rêves,
tous
les
espoirs,
toutes
les
illusions
danseront,
Je
l'espère,
Nuits
et
jours
à
la
lueur
de
vos
boucles.
Je
ne
serais
sans
doutes
plus
là,
moi
qui
ne
désirerai
y
être
que
pour
vous
voir.
Quelque
soit
l'appart,
jamais
assez
belle
ou
tout
autre
qui
vous
soit
faites,
Je
ne
puis
savoir.
Vous
vous
plairez
à
vivre,
à
tour
attendre
de
l'amour.
Vous
vous
plairez
à
tout
attendre
de
l'amour.
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