paroles de chanson Echos - Keny Arkana
Route
longue
et
tortueuse,
au
bord
du
risque
et
torturée
Souvent
en
pente
faite
de
hors
piste
ou
de
chemins
cloturés
Le
livre
de
ma
vie
déjà
plein
de
chapitres
On
m'a
volé
des
parties
car
ici
bas,
partiel
est
l'arbitre
J'aurai
du
crever
à
chaque
virage
Tous
1 degré
618,
boum
dans
la
tête
la
vie
est
un
mirage,
couz'
On
perd,
on
gagne
on
tombe
et
on
s'relève
On
grandi
entre
l'envie
de
s'en
sortir
et
celle
de
zigouiller
leur
règne
Rien
n'est
facile,
trop
de
haine
dans
l'inconscient
collectif
T'étonnes
pas
si
c'est
le
bordel
que
mes
collègues
kiffent
Secouer
l'ordre
établi
pour
oublier
nos
peines
on
coupe
la
mélancolie
à
l'adrénaline,
Tenir
le
cap
malgrès
les
tas
d'crise,
certains
finissent
"épave"
triste,
Quand
la
vie
ressemble
à
un
pavé
qui
s'éclate
sur
ton
pare-brise
On
repart
brisés,
mais
trop
sont
restés
à
terre
Ont
baissé
la
tête,
tu
t'demandes
pourquoi
on
est
contestataire??
Parce
qu'on
a
cru
en
vos
valeurs
et
puis
qu'on
est
tombé
de
haut
Vu
que
les
plus
tristes
de
nos
malheurs
vous
touchent
moins
que
vos
billets
d'euros
Parce
que
notre
sourire
est
tombé
comme
nos
freres
un
par
un
Parce
qu'on
crie
a
l'aide
et
que
personne
ne
fera
rien
Parce
qu'on
est
pas
né
avec
la
haine
livré
a
soi
meme
Parce
que
l'état
est
sourd
et
qu'il
nous
enferme
quand
on
fait
la
même
Parce
que
le
vase
déborde
et
parsce
qu'on
boit
la
tasse
Parce
qu'on
est
triste
et
qu'on
créve
en
silence
derriere
nos
carapaces
Routes
longues
et
tortueuses,
au
bord
du
risque
et
torturée
Souvent
en
pente
faites
de
hors
piste
ou
de
chemins
cloturés
Sur
leurs
banquises,
nous,
on
subit
les
nouvelles
grelles
On
nous
appelle
mauvaise
graine,
wesh
en
bref
la
jeunesse
crève!!
Dans
l'indifférence
total,
à
200
sur
les
dos
d'âne
Malgré
le
mur
qui
nous
atend
car
pour
freiner
j'crois
que
c'est
trop
tard
Babylone
y'a
que
les
puissants
qui
le
vante
Pendant
qu'on
creve
de
cette
douleur
navrante
Qui
donne
envie
de
s'ouvrir
le
ventre
Donc
on
s'anéstésie
tout
seul,
la
défonse
nous
appaise
Bien
sur
qu'on
aimerait
s'élever
mais
votre
monde
nous
rabaisse
Bienvenu
au
coeur
du
malaise,
créé
par
votre
manege
Glacée,
la
paix
est
morte,
son
cadavre
retrouvé
sous
la
neige
Ici
la
rage
est
solanelle,
elle
nous
maintient
en
vie
Génocide
social
dans
nos
pays
et
dans
nos
villes
ici
Des
noeuds
a
l'estomac,
on
respire
en
suffoquant,
On
aimerait
sortir
du
coma,
comprenez
pourquoi
on
souffre
autant!!
Route
longue
et
tortureuse,
torturée
et
au
bord
du
risque
Parfois
anéanti
sous
l'avalanche
des
oportunistes,
Pris
dans
cette
course
où
tout
le
monde
est
bien
dopé
Moi
j'en
ai
rien
a
foutre
je
contemple
le
monde
assise
sur
le
bas
coté
Un
verre
a
la
main
prenant
des
notes
A
la
bien!
Trinquant
a
la
santé
des
potes
Et
des
vaillants
qui
court
au
nom
des
notres
L'idée
qu'tout
puisse
changer,
on
peut
pas
en
démordre
Le
combat
continue,
depuis
des
siecles,
pour
nous
et
au
nom
des
morts
Soldats
précoces,
on
prend
des
bosses
depuis
qu'on
est
gosse
Dévalorisés
car
ils
aiment
bien
juger
de
la
sève
à
l'écorse
Ecorchée
vive,
trop
de
faya,
enfant
deu
brazier
N'oublie
pas
que
l'présent
n'est
que
le
résultat
du
passé
Ils
voudraient
nous
rendre
amnésique,
de
mensonges
nous
catapultent!
Eh
toi
qui
nous
catalogue
de
petits
énervés
incultes,
Crois-tu
comprendre
les
monde
juste
en
matant
le
20heures
Ou
connaître
l'histoire
en
ayant
lu
que
l'angle
des
vainqueurs?
La
jeunesse
crève,
en
silence,
sous
vos
yeux...
La
jeunesse
crève,
en
silence,
sous
vos
yeux...
La
jeunesse
crève,
en
silence,
sous
vos
yeux...
La
jeunesse
crève,
en
silence,
sous
vos
yeux...
Attention! N'hésitez pas à laisser des commentaires.