paroles de chanson Un monde étrange - Les Sages Poetes de la Rue
J'ai
croisé
des
personnes
dures
commes
des
armes,
J'en
ai
croisé
d'autres
dont
la
vie
était
un
drame.
Là
bas
dans
les
villes,
ils
se
battent
pour
du
papier,
Si
t'es
docile,
ils
te
poussent
dans
leur
guêpier.
Donc
si
je
dors,
je
suis
mort,
Je
dois
être
fort,
imposer
mon
corps
dans
le
décor.
L'ambiance
est
glacée,
tous
les
gens
sont
stress,
En
premier
je
bouge,
sinon
c'est
eux
qui
me
blessent.
J'en
fais
l'enfer,
aux
blairs
de
mon
ère,
Qui
ne
veulent
pas
de
ma
terre
mère
dans
leur
prochain
millénaire.
Oh
aïe
aïe
aïe,
dans
un
style
reggae,
voici
la
racaille.
J'ai
gaiement
parcouru
les
sentiers
perdus,
Des
filles
du
monde
entier,
me
voir
étaient
venues.
Et
pour
elles,
je
suis
devenu
un
spirituel
symbole,
Mes
mots
sur
elle,
coulaient
tel
du
lait
dans
un
bol.
Mais
ces
folles
m'ont
trahi
par
leur
comportement
étrange,
M'ont
haï,
moi
qui
voulait
être
ange.
Il
fut
écrit
dans
l'hisoire
de
l'homme,
Que
sa
femme
l'aurait
par
l'effet
d'une
pomme.
La
douce
Eve
a
vu
la
vérité,
Découvre
le
visage,
de
sa
nudité.
Le
monde
est
alors
devenu
étrange,
Le
corps
de
l'humain
consta-constamment
change.
Le
mal
fait
la
différence,
l'homme
encourage
la
différence.
Alors
pense,
j'ai
découvert
que
le
monde
dans
lequel
je
vis,
N'est
donc
pas
compris,
passe
moi
le
cierge
qui
alimentera
ma
vie.
C'est
dur
à
dire
mais
cet
homme
ne
t'aime
pas,
Mais
le
plus
alarmant
c'est
qu'il
ne
te
connait
pas.
Vois
tu
il
y
a
une
chose
que
jamais
je
n'oublie,
C'est
que
Dieu
sauva
l'homme
en
donnant
sa
vie.
Certains
font
l'effort
par
l'attitude
qui
change,
Mais
je
constate
que
ce
monde
est
étrange
1 Je décompose les mots
2 Qu'est-ce qui fait marcher les sages ?
3 Pas besoin d'apparaître dur
4 Amoureux d'une énigme
5 Le bon vieux temps
6 Soirée coupe gorge
7 Un noir tue un noir
8 L'histoire commence en partant du zéro
9 Ne cours pas
10 Les beaux jours viendront
11 Teknik dans la peau
12 Le son (Eveille...)
13 Quoi d'neuf
14 Les filles sont belles
15 Un monde étrange
Attention! N'hésitez pas à laisser des commentaires.