paroles de chanson C'était Juillet - Léonie

C'était juillet
C'était beau
Quand ton corps épousait les bruits du ruisseau
Elle en riait
Ah mais si
Aux larmes de joie qui ne naissaient sous nos souliers
Triste sort
Pour qui dira
Que l'amour est mort ou bien n'existe pas
Balivernes ou, fary boy
Je l'ai vu de mes yeux vu ce gamin qui s'envole et va
Des villes et voir,
Répandre sous les voiles
Des rêves, rit sans voir
Au parfum des étoiles
À qui voudrait le croire encore
J'étais silence, tu
Étais bruit
J'étais la confidence dont tu étais l'abri
J'étais l'absence au, froid des nuits
Quand souffla sur ma chance ce vent de midi
Quelle insolence quelle, avanie
De concéder l'immense à quigne tes signes
Quelle importance si je le suis
J'irai tenter ma chance auprès de celui qui
Va mais vivre voir, Répandre sous les voiles
Des rêves, rires
Sans voir au parfum des étoiles
Puisse un monde autrefois
Des leçons de morale
Des cons tenus tout bas que la France dévoile
À qui voudrait le croire encore
À la quiétude
De nos nuits
Mais aussi à l'effroi qui règne dans nos rues
Au désarroi des,
Coeurs déchire
Entendez l'enfant roi qui flanne sur la nuit
Va des villes voir
Répandre sous le voile
Des rêves, rit sans voir
Au parfum des étoiles
Des serments d'autrefois
Des leçons de morale
Des cons tenus tout bas que la grâce dévoile
À qui voudra le croire encore