paroles de chanson La Machine - Michel Bühler
C'est
l'histoire
d'un
pékin
qui
avait
inventé
Une
machine
à
remonter
le
temps
Non
pas
qu'il
fût
poussé
par
la
curiosité
Mais
c'était
pour
dormir
plus
longtemps
Il
se
disait
le
soir
je
m'en
vais
remonter
Mon
engin
comme
un
réveille
matin
Quelques
heures
en
arrière
je
vais
me
propulser
Et
je
dormirai
jusqu'au
matin
Mais
le
pauvre
bizut
qui
croyait
tout
prévoir
Se
préparait
un
avenir
noir
Quand
il
rentrait
très
tard,
les
yeux
lourds
de
sommeil
Le
geste
vague
et
l'esprit
brumeux
D'une
main
hésitante
il
prenait
son
réveil
Le
réglait
puis
s'endormait
heureux
Le
crétin
dans
sa
cuite
avait
trop
reculé
La
p'tite
aiguille
et
tout
l'attirail
Et
un
quart
d'heure
après
il
était
réveillé
Un
jour
avant
à
l'heure
du
travail
Et
quand
tout
fut
au
point
notre
triste
maniaque
Était
devenu
un
insomniaque
Son
enfer
culmina
quand
il
se
maria
Avec
une
poupée
un
amour
Il
lui
dit
tu
verras
les
nuits
qu'on
se
fera
Elles
dureront
des
jours
et
des
jours
Mais
le
soir
de
ses
noces
quand
il
voulut
remplir
Ses
devoirs
de
mari
consciencieux
S'aperçut
que
le
contact
pouvait
pas
s'établir
Il
y
avait
deux
heures
d'écart
entre
eux
Rageur
il
écrase
le
fatal
instrument
Qui
avait
désuni
les
amants
Il
le
tordit
si
bien
qu'il
attend
maintenant
Sa
p'tite
femme
en
l'an
deux
mille
trois
cents
![Michel Bühler - En Public](https://pic.Lyrhub.com/img/c/y/a/3/c-_ru73ayc.jpg)
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