paroles de chanson Novembre - Odezenne
C'est
avec
les
ambitions
qu'on
attrape
le
financier
Avec
des
munitions
que
dérape
le
policier
C'est
une
condition
de
devoir
nous
laisser
vivre
La
foule
en
érection
est
déjà
bien
ivre
En
réanimation
dans
des
lits
noirs
et
blancs
Ne
tire
aucune
leçon
de
nos
arracheurs
de
dents
Ils
crachent
comme
des
cons
sur
le
pavé
des
enfants
Les
cigarettes
s'allument
à
l'annonce
de
leur
13
ans
C'est
juste
une
épaisse
brume
de
plus
dans
le
présent
Un
grumeau
qui
se
glisse
dans
un
liquide
charmant
Un
cuni
bien
triste
dans
une
belle
au
bois
dormant
Des
poils
qui
s'hérissent
sur
un
bras
bien
coiffé
Une
pulpeuse
nourrice
dans
un
pavillon
parfait
On
vit,
on
s'aime,
à
travers
nos
écrans
On
cache
on
garde
nos
envies
dans
des
écrins
Il
y
a
des
yeux
qui
débordent,
des
vieux
qui
te
bordent
Des
haches
qui
se
dressent,
des
tresses
qui
se
lient
La
détresse
est
visible,
elle
se
couche
dans
nos
lits
Un
matin
de
novembre
nargué
par
un
suçon
Ils
ont
repris
la
vie
de
n'importe
qu'elle
façon
De
l'accumulation,
naît
la
révolution
Une
étincelle
brille
entre
deux
explosions
Réveille
les
instincts
de
ces
morbides
pulsions
Les
gens
bien
pensants
vont
quitter
leurs
fonctions
Notre
armée
triomphante
est
rentrée
dans
Paris
Pénètre
dans
cette
fente
aux
lèvres
déjà
meurtries
Un
viol
quand
tu
rentres
dans
une
foule
asservie
Brûler
ces
H
& M
et
leurs
12
collections!
Du
haut
des
H.L.M.
certains
n'ont
qu'une
saison!
Ça
chuchote
en
coulisse
et
l'élève
entend
des
sons
Les
mômes
s'établissent
un
nouveau
dessein
Ça
barbote
dans
l'abysse
de
nos
belles
tâche
de
sangs
Attention! N'hésitez pas à laisser des commentaires.