paroles de chanson Tropique du Cancer - Palombo
Les
institutions
la
notoriété
le
prestige
Tout
est
bafoué,
tout
Le
roi
s'endort
on
dessoude
le
dauphin
Jolie
manière
Mais
attention
hein
J'ai
bon
caractère
Mais
j'ai
l'glaive
vengeur
et
l'bras
séculier
L'aigle
va
fondre
sur
la
vieille
buse
Devenir
immortel
et
puis
mourir
Inspiré
par
le
sample
Sur
la
joue
coule
des
larmes
de
sang
Et
j'n'y
vois
pas
de
sens
car
Si
peur
d'avoir
la
barbe
blanche
J'te
parle
de
son
c'est
du
pile
ou
face
Jette
la
pièce
dans
la
fontaine
Tu
t'réfugies
dans
un
igloo
d'glace
Le
corps
gelé
et
l'âme
en
peine
Si
seul
dans
soirée
mondaine,
quoi
Toi,
t'as
pas
joué
dans
Brokeback
Mountain?
Tu
confonds
mon
sosie
j'suis
Plus
nostalgique
qu'à
la
quarantaine
Livreur
à
fond
sur
le
Piaggio
Zip
Ouais
les
gadjios
t'zappent
Et
les
fimbi
tchippent
Mes
gavas
aimer
tchatcher
matcher
Et
puis
rouler
des
tiges
de
shit
Les
paupières
sont
lourdes
Les
yeux
rivés
sur
ordinateur
Les
oreilles
sont
sourdes
A
force
d'écouter
vos
vies
d'acteurs
Une
gueule
d'ange
J'suis
pas
Saint
Antoine
Tu
m'trouves
sympa
mais
qu'est
c't'en
sais
Quatorze
avril
un
Printemps
Noir
A
Miller
du
Tropique
du
Cancer
Mes
trésors
perdus
Mes
souvenirs
enfouis
Toutes
mes
colères
durent
Tu
fais
la
gueule
Les
sourires
s'enfuient
Les
soupirs
s'en
suivent
J'ai
l'amertume
d'un
café
froid
J'ose
même
pas
demander
T'as
fait
quoi
Toi
t'es
directe
tu
prends
pas
d'détroit
Nan
nan
nan
J'vois
qu'la
sève
surgit
Depuis
l'début
d'ma
vie
je
campe
Le
bois
du
chêne
durcit
Quand
les
courbes
de
la
vigne
se
cambrent
Enh
la
situation
m'scie
Quand
les
racines
s'amenuisent
Un
goût
d'arsenic
puissante
est
L'énergie
que
les
arbres
puisent
Mes
ailes
déployées
S'envolent
les
frontières
des
douaniers
Mais
limite
foncière
dès
l'loyer
J'vois
les
rêves
de
mon
père
s'éloigner
Ses
iris
humides
Il
s'est
jamais
laissé
dominer
Yeux
fermés
comme
un
demi
né
Fuir
en
fumée
de
cheminée
Cache
tes
crasses
Nan
nan
nan
j'parlerai
aps
Grand
Parano
de
Las
Vegas
Au
volant
on
m'appelle
l'As
des
As
T'es
pas
prêt
donc
tu
cancelles
Claquer
le
fric
du
concert
Vingt-trois
mars,
un
Printemps
Noir
A
Miller
du
tropique
du
cancer
Mes
trésors
perdus
Mes
souvenirs
enfouis
Tes
revolvers
tuent
Un
triste
rêveur
sensible
j'en
suis
La
solitude
sur
île
déserte
Munie
d'aucune
liasse
épaisse
Introverti
sur
la
réserve
Sans
trop
l'vertige
j'vole
comme
les
aigles
Mais
j'suis
qu'un
gosse
Et
sédentaire
et
c'est
tant
mieux
A
peine
sincères
et
prétentieux
Azi
mais
les
autres
j'les
laisse
entre
eux
J'suis
qu'une
image
enh
Juste
un
mirage
enh
Une
putain
d'image
Juste
un
mirage
ouais
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