paroles de chanson Carnet de voyage d'un être sur place - Rocé
Carnet
de
voyage
d'un
être
sur
placeRoce
Coup
d'oeil
à
la
sauvette
Pour
pas
trop
reconnaître
Les
tâches
de
café
qui
résident
Dans
les
bas
fonds
d'ma
moquette
La
chambre
agresse
ma
rétine
Le
rêve
s'envole
en
solex
Enfume
l'air
qui
se
dessine
Sous
l'coup
d'oeil
obsolète
Mon
estomac
est
poète
Face
au
cerveau
englouti
Alourdissant
le
sol
soumis
A
mes
paupières
engourdies
La
platine
tourne
en
roue
libre
Cherche
le
bon
outil
Me
tambourine
Me
demande
un
son
cool
qui
pantouflie
J'ai
la
galette
en
vinyle
Incrusté
dans
l'attirail
De
ces
disques
que
je
chine
Assez
loin
pour
voir
la
muraille
Une
ouverture
d'esprit
sur
tellement
de
style
de
zik
Que
les
esprits
se
brisent
sur
chaque
écoute
prises
de
risques
C'est
un
voyage
comme
on
n'a
pas
idée
Comprend
qui
comprend
mais
qui
comprend,
comprend
l'humanité
Même
l'horizon
jalouse
mes
limites
qui
fondent
L'étendu
sensoriel
de
la
rencontre
des
mondes
Tous
tes
kilomètres
ont
juste
bercé
Tu
vois
pas
l'univers
Juste
un
monde
et
ses
revers
Qui
t'a
encerclé
Le
kilométrage
c'est
pour
la
surface
Voici
le
carnet
de
voyage
d'un
être
sur
place
x2
Si
les
problèmes
du
quotidien
se
noient
dans
le
vide
C'est
qu'ils
sont
en
bois
et
mon
monde
en
dent
de
scie
Ton
monde
réel
n'est
q'un
gouffre
D'ennuyeuse
gamelles
face
aux
pages
que
J'ouvres,
qui
s'écartèlent
sans
replies
Mes
livres
sont
ma
pègre,
mon
cartel
Et
les
idées
bastonnent
Si
bien
que
si
je
les
ferme
ils
disent
qu'
j'déballonne
Esprit
tellement
élargi
par
des
questions
formelles
Comment
aider
Yakari
à
civiliser
John
Wayne
Les
mondes
me
bousculent
S'esquissent
sans
gravitation
L'art
a
pris
tant
d'avance
sur
la
mondialisation
L'imaginaire
invente
c'que
la
vérité
récupère
Et
nous
emmène
à
la
lisière
de
nos
futures
actions
C'est
un
voyage
comme
on
n'a
pas
idée
Comprend
qui
comprend
mais
qui
comprend,
comprend
l'humanité
Même
l'horizon
jalouse
mes
limites
qui
fondent
L'étendu
sensoriel
de
la
rencontre
des
mondes
Tous
tes
kilomètres
ont
juste
bercé
Tu
vois
pas
l'univers
Juste
un
monde
et
ses
revers
Qui
t'a
encerclé
Le
kilométrage
c'est
pour
la
surface
Voici
le
carnet
de
voyage
d'un
être
sur
place
x2
Le
monde
extérieur
n'est
pas
si
riche
Il
ne
fait
que
s'inspirer,
s'imbriquer,
s'impliquer
C'est
pas
qu'il
triche
mais
Comment
veux-tu
que
le
quotidien
m'aguiche
Quand
mes
rêves
s'illuminent
D'un
univers
trop
grand
pour
les
affiches
Les
temps
anciens
ou
nouveaux
C'est
le
monde
que
je
colocatione
Dans
ma
chambre
si
peu
fascione
Que
la
mode
ne
me
pardonne
J'épars
contre
un
horizon
de
taille
qui
m'évasionne
Car
il
se
rationne
du
portail
Que
mes
quatre
murs
plafonnent
Loin
des
soucis
beuglants
Que
tous
vos
récits
bégayent
Loin
de
ce
monde
et
de
ces
temps
Que
les
aiguilles
déblayent
Loin
des
endroits
décevants
Appelés
Monts
et
Merveilles
Jugés
par
des
prunelles
Encore
trop
centrées
sur
les
semelles
C'est
un
voyage
comme
on
n'a
pas
idée
Comprend
qui
comprend
mais
qui
comprend,
comprend
l'humanité
Même
l'horizon
jalouse
mes
limites
qui
fondent
L'étendu
sensoriel
de
la
rencontre
des
mondes
Tous
tes
kilomètres
ont
juste
bercé
Tu
vois
pas
l'univers
Juste
un
monde
et
ses
revers
Qui
t'a
encerclé
Le
kilométrage
c'est
pour
la
surface
Voici
le
carnet
de
voyage
d'un
être
sur
place
x2
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