paroles de chanson Alice - Salvatore Adamo
Moi,
le
chantre
un
peu
lisse
Au
langage
désuet
J'ai
rencontré
Alice
Qui
m'a
dit:
J'
t'aime
bien
mais
Faut
que
tu
t'enhardisses
Faisons
de
grands
projets
Le
temps
que
je
rougisse
Nous
n'avions
plus
d'
secrets
Elle
me
parla,
très
fière,
Des
cornes
de
son
mari
En
voyage
d'affaires
Du
lundi
au
samedi
Comme
on
était
dimanche
Je
ne
comprenais
pas:
Mets
tes
mains
sur
mes
hanches
Allez
chante
pour
moi
Comme
disaient
les
Chinois
Et
sans
doute
les
Perses
Il
n'y
a
pas
de
loi
Qu'une
chanson
ne
renverse
Comme
c'était
romanesque!
Alice,
les
joues
en
feu,
En
extase,
enfin
presque
Le
bon
Dieu
dans
les
yeux
Moi,
j'
lui
parlais
des
fresques
De
la
chapelle
Sixtine
Elle
me
hurla:
Quand
est-ce
qu'
On
boit,
bonté
divine?
Elle
m'a
dit
qu'elle
aimait
Le
Gevrey-Chambertin
Qu'un
p'tit
verre
réveillait
Ses
fantasmes
coquins
Moi,
j'ai
l'
vin
amoureux
Ça
m'
rend
plutôt
rêveur
V'là
un
magnum
pour
deux
Dit-elle,
la
bouche
en
cœur
Comme
disaient
les
Chinois
Et
sans
doute
les
Perses
Il
n'y
a
pas
de
loi
Qu'un
bon
cru
ne
renverse
Vive
les
charretières
Leur
belle
élocution
Et
leur
vocabulaire
Et
leur
regard
fripon
Quand
sa
divine
sphère
Apparut
au
balcon
Je
voyais
l'univers
Et
toute
la
création
Ne
sachant
que
lui
dire
Qui
n'éteigne
sa
passion
J'entonnai,
sans
même
rire,
La
ronde
des
jurons
Je
sortis
de
ma
gorge
Des
mots
au
diapason
J'
voulais
pas
qu'
Tonton
Georges
Me
traitât
de
couillon
Alors,
pour
une
fois,
Sans
ruse
ni
commerce
Ni
sans
langue
de
bois
Ni
périphrases
diverses
Je
vous
le
dis
tout
rond
Sans
jouer
les
faux
derches
J'
l'ai
promis
à
Tonton
J'ai
parié
dix
sesterces
Comme
disaient
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