paroles de chanson Cantare - Soprano feat. Soolking

Yeah, yeah hi yeah, hey…
J'sors du quartier (ouais), très affamé (ouais)
Préviens le monde, j'suis venu le croquer (ouais)
Prédestiné à rien exaucer
Aujourd'hui regarde-moi vivre de mes souhaits (ouais)
Tout le mal-être (ouais), de ma jeunesse (ouais)
Je l'ai chanté avec mes complexes (ouais)
Fils d'immigré, j'ai dû faire la guerre
Pour que la Rue de la Paix devienne mon adresse
J'ai chanté ma mélancolie dans les 4 coins du monde
Sans jamais lâcher (ouais ouais ouais, hey)
Hey, tes mélodies qui t'ont fait danser sur des messages de paix
(Ouais ouais ouais, hey)
J'ai vu des stades entiers en feu sur mes refrains
(Ouais ouais ouais, hey)
Rien n'a changé,
j'ai toujours le même rêve de gamin
(Ouais ouais ouais, hey)
Cantare, Cantare
Chanter je n'sais faire que ça
Chanter nos peines et nos joies
Cantare, Cantare
Chanter, chanter sans arrêt
Au nom de nos favelas
Ma musique est ma vie, tous les jours elle se marie
Et quoi qu'il m'arrive, je t'aurais donné le sourire
Tu sais des fois ça va pas, toi tu m'écoutes mais tu ne l'vois pas
Y'a que dans les bras d'mama, que je guérirai sans plus de mal
Ouais, j'ferai pas semblant
Je braquerai mes rêves, j'le ferai sans gants (ra pah pah pah)
Papa, n'aies pas peur
Ton petit soldat est devenu grand
Je kicke, kicke et boxe avec mes mots
Y'avait que la misère, le ciel et moi
Je m'en sors au bon endroit au bon moment
Un million d'euros ou 2 ouais c'est le minimum
Cantare, Cantare
Chanter je n'sais faire que ça
Chanter nos peines et nos joies
Cantare, Cantare
Chanter, chanter sans arrêt
Au nom de nos favelas
(Ta ta rata ta ta ta, ta ta ratata ta)
(Ta ta rata ta ta ta, ta ta ratata ta)
(Ta ta rata ta ta ta, ta ta ratata ta)
(Ta ta rata ta ta ta, ta ta ratata ta)
(Po po ropo po po po, po po ropopo po)
(Po po ropo po po po, po po ropopo po)
(Po po ropo po po po, po po ropopo po)
(Po po ropo po po po, po po ropopo po)
Cantare, Cantare
Chanter je n'sais faire que ça
Chanter nos peines et nos joies
Cantare, Cantare
Chanter, chanter sans arrêt
Au nom de nos favelas