Текст песни Le temps des coupes à blanc - Antoine Corriveau
Je
suis
une
montagne
érodée
Embrassée
par
la
mer
Sur
chacun
de
mes
flancs
Je
disparais
tranquillement
J'ai
vu
des
montagnes
pleurer
Pour
faire
monter
la
mer
Plus
rapidement
Et
se
laisser
noyer
Même
les
deux
arbres
Qui
avaient
poussé
côte
à
côte
Se
sont
perdus
quand
est
venu
Le
temps
des
coupes
à
blanc
(han
han,
han
han,
han
han)
Quel
est
ce
vent
Qui
est
passé
si
rapidement?
Saccager
le
versant
connu
De
l'île
que
je
suis
devenu
Et
si
j'ai
laissé
bâtir
Quelque
chose
de
temporaire
C'est
que
c'est
là
où
je
sais
Je
serai
rongé
par
la
mer
Même
les
deux
arbres
Qui
avaient
poussé
côte
à
côte
Se
sont
perdus
quand
est
venu
Le
temps
des
coupes
à
blanc
(han
han,
han
han,
han
han,
han
han,
han
han,
han
han)
J'ai
attendu
et
attendu
Qu'on
ne
me
reconnaisse
plus
Une
fois
rendu,
une
fois
rendu
J'ai
regardé
mourir
la
vue
La
la
la
la
la,
la
la
la
la
la
La
la
la
la
la
la
la
la
la
La
la
la
la
la,
la
la
la
la
la
La
la
la
la
la
la
la
la
la
Même
les
deux
arbres
Qui
avaient
poussé
côte
à
côte
Se
sont
perdus
quand
est
venu
Le
temps
des
coupes
à
blanc
(han
han,
han
han,
han
han)
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