Georges Chelon - La camarde текст песни

Текст песни La camarde - Georges Chelon




J'ignore si le jour je deviendrai marbre
A déjà pris sa place en les calendriers
Mais, ô mort, dites-moi pourquoi vous souriez
Je sais que mon cercueil n'est déjà plus un arbre
Que quelque part l'on forge avec un soin jaloux
Le minerai de fer qui servira de clous
Que quelque part l'on forge avec un soin jaloux
Le minerai de fer qui servira de clous
Si seulement j'eusse eu quelques rimes en "arbre"
Je vous aurais fait voir, horrifique camarde
Comment en quelques vers, un poète se fout
Sempiternellement de vos vers et de vous
Hélas en "arbre", il n'y a que "arbre" et "marbre"
Et l'on en a usé si bien qu'il serait fou
De vouloir faire mieux, c'est pour cela, camarde
Que j'ai peine en songeant à vos vers et à vous
C'est pour cela, camarde
Que j'ai peine en songeant à vos vers et à vous
J'ignore si le jour je deviendrai marbre
A déjà pris place en les calendriers
Mais, ô mort, dites-moi pourquoi vous souriez
Mais, ô mort, dites-moi pourquoi vous souriez



Авторы: Georges Brassens, Georges Chelon


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