Текст песни Je veux te dire adieu - Nouvelle version de 1964 - Gilbert Bécaud
                                                Et 
                                                puisque 
                                                d'autres 
                                                mains, 
                                                sur 
                                                ton 
                                                corps 
                                                impudique
 
                                    
                                
                                                Sont 
                                                venues 
                                                prendre 
                                                place 
                                                où 
                                                mes 
                                                doigts 
                                                ont 
                                                couru
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                puisqu'un 
                                                autre 
                                                cœur 
                                                donne 
                                                au 
                                                tien 
                                                la 
                                                réplique
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                que 
                                                tes 
                                                joies 
                                                se 
                                                fondent 
                                                aux 
                                                joies 
                                                d'un 
                                                inconnu
 
                                    
                                
                                                Je 
                                                veux 
                                                te 
                                                dire 
                                                adieu
 
                                    
                                
                                                Puisque 
                                                tes 
                                                reins 
                                                se 
                                                cambrent 
                                                aux 
                                                nouvelles 
                                                étreintes
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                que 
                                                ta 
                                                peau 
                                                frémit 
                                                sous 
                                                un 
                                                souffle 
                                                nouveau
 
                                    
                                
                                                Puisqu'un 
                                                autre 
                                                que 
                                                moi 
                                                peut 
                                                arracher 
                                                tes 
                                                plaintes
 
                                    
                                
                                                Faisant 
                                                jaillir 
                                                de 
                                                toi 
                                                des 
                                                râles 
                                                et 
                                                des 
                                                mots
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                puisque, 
                                                sur 
                                                ta 
                                                couche, 
                                                tu 
                                                nies 
                                                mon 
                                                existence
 
                                    
                                
                                                En 
                                                oubliant 
                                                mon 
                                                nom 
                                                pour 
                                                mieux 
                                                crier 
                                                le 
                                                sien
 
                                    
                                
                                                Et 
                                                que 
                                                tu 
                                                mords 
                                                dans 
                                                sa 
                                                vie 
                                                pour 
                                                tisser 
                                                ma 
                                                souffrance
 
                                    
                                
                                                En 
                                                lui 
                                                disant 
                                                ces 
                                                mots 
                                                que 
                                                je 
                                                croyais 
                                                les 
                                                miens
 
                                    
                                
                                                Blessé 
                                                dans 
                                                mon 
                                                cœur 
                                                même 
                                                et 
                                                parce 
                                                que 
                                                je 
                                                t'aime
 
                                    
                                
                                                Je 
                                                veux 
                                                te 
                                                dire 
                                                adieu
 
                                    
                                ![Gilbert Bécaud - Gilbert Becaud (1963-1964) [Remastered] [Deluxe version]](https://pic.Lyrhub.com/img/p/2/z/n/j2f8yynz2p.jpg) 
                            1 Mes mains - Nouvelle version de 1964
2 Quand tu danses - Nouvelle version de 1964
3 Les croix - Nouvelle version de 1964
4 Alors, raconte - Nouvelle version de 1964
5 C'était mon copain - Nouvelle version de 1964
6 Et Maintenant
7 La corrida
8 Le Jour Où La Pluie Viendra
9 Le pianiste de Varsovie - Nouvelle version de 1964
10 Les marchés de Provence - nouvelle version 1964
11 Je veux te dire adieu - Nouvelle version de 1964
12 La ballade des baladins - Nouvelle version de 1964
13 Je t'attends - version mono
14 Mère douloureuse
15 Dimanche à Orly (Du film « Toute une vie »)
16 Trop beau
17 Au revoir
18 Heureusement y'a les copains
19 Si j'avais une semaine
20 Quand Jules est au violon
21 Toi
22 Les tantes Jeanne (Ah ! Les vacances)
23 De l'autre côté de la rivière
24 Dégonflé
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