Текст и перевод песни LUVRE47 - SOMMERNACHT

SOMMERNACHT

Ich rauch mit Bros im elften Stock ein, zwei Packs auf Not-Balkon
Wassereis in rot, ich jogg, ist blaues Licht am Horizont
Scheiß auf Liebe, scheiß auf Bull'n, Baby weg, schreibt: "Selber schuld"
Herz ist leer, mein Becher full, dis' Sommernacht in 030
Ich rauch mit Bros im elften Stock ein, zwei Packs auf Not-Balkon
Wassereis in rot, ich jogg, ist blaues Licht am Horizont
Scheiß auf Liebe, scheiß auf Bull'n, Baby weg, schreibt: "Selber schuld"
Herz ist leer, mein Becher full, dis' Sommernacht in 030

Nur Day-Ones um mich, wir komm'n von Krümeltee und Sandwich-Toast
Majors winken mit Vertrag, doch ich lehn ab, weil kenn das schon
Häuser so wie Gletscher hoch, hier war für viele Endstation
Doch nicht für uns, rauch, drauf mit Bros bei Parkdeck Neukölln S-Bahnhof (ausstieg links)

Führ Voll-Suff-Gespräche mit ein'n Penner (aha)
Hab kein Kleingeld auf mir, gib ihm ein'n Tenner (okay)
Bau ein'n endlos, so lang wie mein Mic-Ständer (ja-ja)
Komm auf Two-Step und fühl mich wie ein Kalkbrenner (abow)
Kein Spaß, renn durch die Nacht, auf der Flucht (okay)
Vor mir sechs Paki's im Kunz (ja-ja-ja-ja)

Hau noch ein'n nach, Mango-Kush in meiner Brust
Im Viertel auf Dach mit den Jungs
Hood-Kids auf Gift, statt Zeitarbeit (nee, Mann)
Ist wie Sis' und bleibt dabei (ja, ja)
Mit Gang durch Stadt, lauf' meilenweit (lauf meilenweit)
Ex mein'n Cup, kipp noch was rein (kipp noch was rein)

Will nix mehr fühl'n, mein Herz aus Stein (ja)
Hauptsache, dis Dry Sift ist weich
Ich geh nicht ran und Baby schreibt (okay)
"Lösch mein'n Kontakt, es ist vorbei" (shit)

Ich rauch mit Bros im elften Stock ein, zwei Packs auf Not-Balkon
Wassereis in rot, ich jogg, ist blaues Licht am Horizont
Scheiß auf Liebe, scheiß auf Bull'n, Baby weg, schreibt: "Selber schuld"
Herz ist leer, mein Becher full, dis' Sommernacht in 030
Ich rauch mit Bros im elften Stock ein, zwei Packs auf Not-Balkon
Wassereis in rot, ich jogg, ist blaues Licht am Horizont
Scheiß auf Liebe, scheiß auf Bull'n, Baby weg, schreibt: "Selber schuld"
Herz ist leer, mein Becher full, dis' Sommernacht in 030

Ja und ich flieg mit Kafa leş auf Prestos oder Vans in weiß
Hab Backpack, Boys, paar Packs dabei
Und mach es klein, Papes von PURIZE
Ich bleib mit Gang, vergess die Zeit
Guck auf G-Block und dreh noch ein'n
Schreib: "Baby, ehrlich, tut mir leid"
Doch tut mir nicht leid (niemals)

Er sieht aus wie mein Fuß, aber rappt von Groupies
Geh all-in für die Fam, hol uns raus mit Musik
Heb mein'n Cup und mix Gin mit Durstlöscher Multi
Wasserbomben vom Balkon auf ein paar Touris
Macht Spaß, danach paar Scheine dribbeln
Silberstreifen sortier'n, in der Einfahrt sitz'n

Ist weg, weil er ging hoch mit dreißig Kisten
Tag "Free Air" an die Wand, Bahnhof-Eingang Klippe
Immer weiter nach vorne, zeig kein Gewiss'n
Goofies mad, weil wir bisher nicht eingeknickt sind
Ich will Batz'n auf mir, nie mehr Leid empfind'n
Auch mit Seitenstich'n immer weiter sprint'n

Nein, muss keiner wissen, was wir machen offline
Pipeline voll, Cali'-Pounds zum Spottpreis
Weiß, dass sie hofft, doch mein Herz ist schrottfreif
Und Baby haut ab, statt zu träum'n von Hochzeit (oh, shit)

Ich rauch mit Bros im elften Stock ein, zwei Packs auf Not-Balkon
Wassereis in rot, ich jogg, ist blaues Licht am Horizont
Scheiß auf Liebe, scheiß' auf Bull'n, Baby weg, schreibt: "Selber schuld"
Herz ist leer, mein Becher full, dis' Sommernacht in 030
Ich rauch mit Bros im elften Stock ein, zwei Packs auf Not-Balkon
Wassereis in rot, ich jogg, ist blaues Licht am Horizont
Scheiß auf Liebe, scheiß' auf Bull'n, Baby weg, schreibt: "Selber schuld"
Herz ist leer, mein Becher full, dis' Sommernacht in 030

NUIT D'ÉTÉ

Je fume un pack ou deux avec les potes au onzième étage, sur le balcon de secours
Glace à l'eau rouge, je cours, une lumière bleue à l'horizon
Au diable l'amour, au diable les bleus, bébé est partie, elle écrit : "C'est ta faute"
Le cœur vide, le verre plein, c'est la nuit d'été à Berlin
Je fume un pack ou deux avec les potes au onzième étage, sur le balcon de secours
Glace à l'eau rouge, je cours, une lumière bleue à l'horizon
Au diable l'amour, au diable les bleus, bébé est partie, elle écrit : "C'est ta faute"
Le cœur vide, le verre plein, c'est la nuit d'été à Berlin

Que des vrais autour de moi, on vient de rien, du thé et des toasts au beurre
Les majors me font signe avec des contrats, mais je refuse, je connais la chanson
Des bâtiments hauts comme des glaciers, ça a été le terminus pour beaucoup
Mais pas pour nous, on fume, on plane avec les potes au parking de la gare de Neukölln (sortie gauche)

Discussions à la con avec un clochard (aha)
J'ai pas de monnaie, je lui file un billet de dix (okay)
On roule un joint sans fin, aussi long que mon pied de micro (ouais-ouais)
Je me mets au two-step et je me sens comme Kalkbrenner (abow)
Pas le temps de rigoler, je cours à travers la nuit, en cavale (okay)
Devant moi, six Pakistanais dans une Mercedes (ouais-ouais-ouais-ouais)

Je tire encore une latte, Mango Kush dans ma poitrine
Sur les toits du quartier avec les gars
Les jeunes de la cité défoncés, plutôt que de faire de l'intérim (non, mec)
C'est comme ça ma sœur et ça restera comme ça (ouais, ouais)
Avec la bande à travers la ville, on marche des kilomètres (on marche des kilomètres)
Mon ex veut mon verre, je rajoute un peu d'alcool (je rajoute un peu d'alcool)

Je ne veux plus rien ressentir, mon cœur est de pierre (ouais)
Du moment que ce Dry Sift est doux
Je ne réponds pas et bébé écrit (okay)
"Supprime mon contact, c'est fini" (merde)

Je fume un pack ou deux avec les potes au onzième étage, sur le balcon de secours
Glace à l'eau rouge, je cours, une lumière bleue à l'horizon
Au diable l'amour, au diable les bleus, bébé est partie, elle écrit : "C'est ta faute"
Le cœur vide, le verre plein, c'est la nuit d'été à Berlin
Je fume un pack ou deux avec les potes au onzième étage, sur le balcon de secours
Glace à l'eau rouge, je cours, une lumière bleue à l'horizon
Au diable l'amour, au diable les bleus, bébé est partie, elle écrit : "C'est ta faute"
Le cœur vide, le verre plein, c'est la nuit d'été à Berlin

Ouais et je vole avec Kafa leş en Prestos ou Vans blanches
J'ai mon sac à dos, les gars, quelques paquets à l'intérieur
Et je roule des joints fins, papiers PURIZE
Je reste avec la bande, j'oublie le temps
Je regarde G-Block et j'en roule un autre
J'écris : "Bébé, franchement, je suis désolé"
Mais je ne suis pas désolé (jamais)

Il ressemble à mon pied, mais il rappe sur les groupies
Je fais tout pour la famille, je nous sors de là avec la musique
Je lève mon verre et je mélange du gin avec du jus de fruits
On lance des bombes à eau du balcon sur des touristes
C'est marrant, après on compte quelques billets
On trie les pièces, assis dans l'allée

Il est parti parce qu'il est monté avec trente caisses
On tague "Free Air" sur le mur, à l'entrée de la gare
Toujours aller de l'avant, ne montrer aucune conscience
Les groupies sont folles parce qu'on n'est pas encore entrés dans leur jeu
Je veux des liasses sur moi, ne plus jamais souffrir
Même avec des points de côté, toujours sprinter

Non, personne n'a besoin de savoir ce qu'on fait hors ligne
Le pipeline est plein, des kilos de Californie à prix cassés
Je sais qu'elle espère, mais mon cœur est irrécupérable
Et bébé s'enfuit, au lieu de rêver de mariage (oh, merde)

Je fume un pack ou deux avec les potes au onzième étage, sur le balcon de secours
Glace à l'eau rouge, je cours, une lumière bleue à l'horizon
Au diable l'amour, au diable les bleus, bébé est partie, elle écrit : "C'est ta faute"
Le cœur vide, le verre plein, c'est la nuit d'été à Berlin
Je fume un pack ou deux avec les potes au onzième étage, sur le balcon de secours
Glace à l'eau rouge, je cours, une lumière bleue à l'horizon
Au diable l'amour, au diable les bleus, bébé est partie, elle écrit : "C'est ta faute"
Le cœur vide, le verre plein, c'est la nuit d'été à Berlin