Текст песни Les pêcheurs de perles, WD 41: Au fond du temple saint - Plácido Domingo feat. Sherrill Milnes, Anton Guadagno & London Symphony Orchestra

Au fond du temple saint, paré de vert et d'or
Une femme appareille, je crois la voir encore
La foule prosterne, noirs vêts et tonnés
Qui mirent, mirent tout bas, voyez, c'est la déesse
Qui à l'ombre se dresse divinement en blanc
Son voile se soulève, ô vision, ô rêve!
La foule est à genoux, oui c'est elle, c'est la déesse
Qui charme la dénudée, oui c'est elle, c'est la déesse
Qui laisse à Paris, haut, son voile se soulève
Et la foule est à genoux
Mais à travers la foule elle s'ouvre un passage
Sans la voile déjà, on cache son visage
Mon revan, hélas, ma chère chauvin!
Elle fuit, elle est pire
Mais dans mon âme est soudain
Quel étrange appel solubre
Quel feu nouveau me consume?
Ta main repousse ma main
Ta main repousse ma main
Mais nos cœurs à nous s'emparent
Et nous sont un ennemi
Non, qu'rien ne nous sépare
Non, rien
Qu'rien ne nous sépare
Non, rien
Jurons de rester amis
Jurons de rester amis
Jurons de rester amis
Jurons, oui, jurons de rester amis
Oui, c'est elle, c'est la déesse
Qui charme la dénudée, oui c'est elle, c'est la déesse
Qui laisse à Paris, haut, son voile se soulève
Et la foule est à genoux
Et fidèle à ma promesse
Je vois que je te chéris
C'est elle, c'est la déesse
Qui à l'ombre se dresse divinement en blanc
Et fidèle à ma promesse
Je vois que je te chéris
C'est elle, c'est la déesse
Qui charme la dénudée, oui c'est elle, c'est la déesse
Qui mirent, mirent tout bas, voyez, c'est la déesse
Qui à l'ombre se dresse divinement en blanc
Et fidèle à ma promesse
Je vois que je te chéris
C'est elle, c'est la déesse
Qui à l'ombre se dresse divinement en blanc
Et fidèle à ma promesse
Je vois que je te chéris