Текст песни Realidad #1 - Sez
Ah,
ah,
ah,
Sez
Maman
m'a
dit
que
celui
qui
avait
tort
haussait
souvent
le
ton
Que
le
riche
n'était
pas
forcément
celui
qui
portait
du
Louis
Vuitton
Dernier
couché,
premier
debout
J'suis
le
frérot
parfait
pour
mes
petites
sœurettes
Jamais
fauché,
oseille
en
banque
J'suis
cet
homme
parfait
pour
toutes
ces
beurettes
Te
marie
pas
avec
lui
si
tes
mains
sont
imprégnées
de
l'odeur
de
ma
verge
Tôt
ou
tard
il
saura
tout,
car
c'est
dans
la
graine
du
mensonge
que
le
noyau
de
la
vérité
émerge
Chaud
comme
le
Sud,
caractère
froid
comme
le
Nord
(Calais)
J'suis
un
d'ces
fous
pour
lequel
la
mort
serait
plus
sucrée
que
salée
À
six
pieds
sous
terre
se
trouve
la
paix,
on
l'aura
jamais
avec
ou
sans
guerre
Le
CAC
40
a
fait
plus
de
dégâts
que
de
millionnaires,
ouais
Redescends,
te
sens
pas
pousser
des
ailes,
n'oublie
pas
que
la
moité
Tu
te
rappelles,
je
me
fais
tout
seul,
appelle-moi
Jacques
Brel
Ma
carrière,
je
ne
la
devrai
pas
à
celui
qui
avait
dit
à
celui
de
sucer
untel
(Sez)
J'suis
vaillant,
dans
mon
équipe
jamais
personne
se
fait
dérouiller
Petit
fils
de
vaillant
j'ai
jamais
mouillé,
ni
douillé,
ni
couillé
J'reviens
plus
fort
depuis
le
15
juillet
Pas
besoin
d'aide
de
la
street,
j'ai
vu
des
gosses
de
riche
qu'ont
couché
des
gros
caïds
À
la
douceur
de
leurs
mains,
qu'ont
fait
vraiment
du
sale
comme
mon
poto
Saïd,
ah
Envie
de
rejoindre
les
cieux
mais
t'as
peur
de
la
mort
(là
on
est
deux)
Tu
dis
que
les
meilleurs
partent
les
premiers
mais
t'ignores
que
les
anges
partent
avant
eux
Les
mains
qui
traînaient
là
où
il
fallait
pas
Au
mauvais
moment,
au
mauvais
endroit
Que
le
Seigneur
pardonne
tous
nos
faux
pas
Rappelle-toi
qu'en
Enfer,
y
a
pas
de
quota
Plutôt
être
pauvre
et
digne,
que
riche
et
catin
comme
un
Qatari
T'es
monté
sans
mérite,
alors
ta
descente
sera
amère
comme
celle
de
Balotelli
Tu
parles
d'oseille
alors
que
ça
gratte
les
bourses
Tu
parles
de
din
mais
tu
préfères
l'anal
Tu
parles
sans
cesse
de
la
mama
mais
ça
te
fait
chier
quand
elle
te
demande
d'aller
faire
les
courses
Y
lamentablemente
ver
a
tu
pa'
A
tu
papá
enfermo
Es
bien
difícil
para
un
niño
Si
faire
la
guerre
est
un
art,
la
street
aussi
a
son
charme
On
enferme
les
plus
justes
et
on
ose
encore
dire
que
le
savoir
est
une
arme
Tu
fais
l'homme
fort
mais
le
manque
d'argent
te
met
aux
abois
J'rappe
ce
que
tu
ne
diras
jamais,
on
raconte
que
c'est
pas
le
talent
mais
le
piston
qui
t'a
fait
buzzer
On
dit
que
j'suis
bête
quand
je
me
tais,
un
Monsieur
je-sais-tout
quand
je
dis
vrai
À
vrai
dire,
je
sais
plus
trop
où
j'en
suis,
l'or
il
m'a
giflé,
honnêtement
j'étais
pas
prêt
On
a
fait
taire
toutes
ces
grosses
têtes,
et
crois-moi,
j'ai
jamais
ouvert
ma
gueule
Pas
besoin
de
se
tatouer
le
pec'
pour
se
souvenir,
y
a
le
cerveau
ma
gueule
Sez,
c'est
juste
la
realidad
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