paroles de chanson Parapente - 1995
Si
tu
veux
que
je
vole
de
mon
stud'
à
la
salle
de
concert,
Paie
moi
le
taxi,
je
suis
inlassable
mon
frère.
Dans
ma
galaxie,
j'plane
comme
un
sale
fonc'dé,
Un
androïde,?
dingue
de
weed.
En
roue
libre,
rien
à
cirer
nan
j'fais
l'amour
à
des
sirènes,
Sex
on
the
Beach
Eh,
on
est
pas
tous
les
jours
sérieux,
Si
c'est
ton
cas
c'est
qu'tu
commences
à
te
faire
vieux.
Et
les
racistes
ne
m'aiment
pas,
Comment
pourrais-je
être
blanc?
Je
n'existe
même
pas.
Une
feuille
slim,
un
texte
de
Chedid,
L'histoire
d'un
mineur
parti
de
chez
lui,
Le
soir
mon
père
me
criait
"Qu'est
ce
que
j'tai
dit?"
Laisse
moi
cruiser
en
parapente
y'aura
ma
bande,
Le
S-Crew
et
on
part
à
plein.
J'me
déplace
en
capsule
au
dessus
des?
L'homme
fait
plus
d'un
kilomètre
à
pied,
Sur
des
chemins
qui
ne
mènent
à
rien,
Y'en
aura
un
qui
le
mettra
bien,
C'est
fumer
le
calumet
d'la
paix.
Avant
qu'j'arrête
de
planer
Où
sont
les
étoiles?
Montrez
les
moi.
Parce
qu'il
faut
redescendre,
ce
sera
pour
monter
les
marches.
A
force
de
voir
mes
soss
planer,
se
détendre,
J'ai
envie
d'faire
les
mêmes
descentes
en
parapente
Parapente,
parapente,
parapente,
...
J'kiff
le
soleil,
et
les
sommets,
Pour
surplomber
la
vallée,
Dans
les
nuages,
quand
j'ai
du
hash
B'soin
d'mon
rap
tard
dans
mon
appartement,
Un
monde
à
part
sans
mon
appartenance.
Si
zen
au
sixième
ciels,
en
dessous
du
paradis,
J'men
tape
des
Watts,
en
dessous
tu
pars
rapid'ment.
Ville
tant
d'bruit,
temps
d'contrôlant
la
chute,
En
vrille
j'menfuis
en
contrôlant
la
chute.
Car
on
stagne
trop,
carfonc'
accros,
Et?,
près
du
soleil.
(Vrai)
Ebloui
par
sa
lumière,
reflétée
dans
l'eau,
J'veux
rester
en
haut,
et
m'oublier
car
sa
m'libère.
Mais
j'ai
des
projets
super
sur
Terre,
Frais
j'met
des
crochets
sur
frère
plus
terre.
J'ai
hâte
d'écrire
sage,
limite?
Mais
évite
les
arbres,
et
j'atterris
sage.
Comment
vous
dire?
Vos
conneries
peuvent
pas
m'engloutir,
J'suis
l'empereur
du
Jemenfoutisme.
J'suis
plein
d'amour,
mais
j'plaint
la
foule,
L'état
d'esprit
d'un
mec
qui
n'a
pas
d'beat.
Rien
à
fouuuuuutre.
Tant
qu'il
m'reste
quelques
dollars
à
t'nir
Et
qu'les
miens
se
savouuuuurent.
C'qu'il
y
a
à
savourer,
même
si
il
s'avère
Qu'on
rame
comme
en
aviron,
Ne
m'jettais
pas
d'boué,
car
j'suis
en
parapente
Zénith,
Bataclan
, On
pense
même
à
jouer
Sur
la
Lune
j'te
l'avouerai.
On
connais
pas
la
glande,
Tout
l'temps
à
la
planque.
Plus
l'temps
d'vadrouiller
toute
la
journée.
Le
Phaal,
sans
teu-teu,
n'a
que
des
insomnies,
Comme
le
renard
à
deux
queues
dans
Sonic
Les
aliens
prennent
leur
envols,
Si
tu
veux
nous
tej
la
bière,
Ramène
des
renforts.
Remplis
mon
verre
une
fois
encore,
Loin
des
villes
agitées,
Proche
des
vies
que
j'veux.
Loin
des
filles
attirées
par
le
fric
j'ai
mieux,
à
t'proposer,
viens
sautons
dans
le
vide
à
deux.
Traversons
les
nuaaages,
Ensemble
apprécions
le
paysaaaage.
La
Terre
est
belle
vue
de
si
haut.
Instantané
fiché
sur
papier
par
bout
d'stylo.
Quelques
turbulences
passent,
on
se
questionne.
Main
dans
la
main
on
se
cherche,
on
se
résonne.
Puis
la
chute
reprend
son
cours,
paisible
et
linéaire,
J'l'aprécie
des
idées
claires.
J'tire
sur
un
fil
fin
et
frais,
le
parachute
s'ouvre,
On
rit,
on
s'aime,
on
se
redécouvre.
Certains
atterriront
vite,
chaque
sauts
est
à
ses
risques,
Moi
pour
l'instant
je
profite,
en
survolant
l'île
Maurice.
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