paroles de chanson Fraternité - Charles Aznavour
Nous
rentrions
très
tard,
mêlant
Des
vers
purs
à
des
chants
obscènes
Et
l'on
s'asseyait
sur
un
banc
Pour
regarder
rêver
la
Seine
Sur
l'eau
rien
ne
vivait
encore
Ainsi
qu'une
ouvrière
lasse
Pressant
sur
ses
flancs
ses
fils
morts
La
Seine
dormait
dans
sa
crasse
Nos
cœurs
d'ivrognes
s'emplissaient
D'une
bienfaisante
latrie
Si
le
soleil,
le
vent
doraient
Les
marronniers
des
Tuileries
Pour
mieux
évoquer
l'ancien
soir
Le
plâtre
et
le
vin
des
tavernes
Égayaient
nos
vieux
habits
noirs
Et
nos
plastrons
d'hommes
modernes
Alors,
ayant
honte
vraiment
De
nous
connaître
aussi
lyriques
Nous
offrions
un
coup
de
blanc
Aux
balayeurs
mélancoliques
Belle
ruse
et
l'on
découvrait
Dans
le
balayeur,
un
poète
Si
bien
que
les
verres
tremblaient
Sur
le
comptoir,
autel
de
fête
Et
pour
que
ce
soir
sans
égal
Fût
perpétué
un
pandore
On
dressait
le
procès
verbal
Parsemé
d'attendus
sonores
1 Les deux guitares
2 Ce jour tant attendu
3 Fraternité
4 J'ai des millions de rien du tout
5 J'ai perdu la tête
6 Tu t'laisses aller
7 Rendez-vous à Brasilia
8 La nuit
9 C'n'est Pas Nécessairement Ça
10 Plus Heureux Que Moi
11 Je m'voyais déjà
12 Quand Tu M'embrasses
13 Noël des mages
14 L'amour Et La Guerre
15 Comme Des Étrangers
16 Prends le chorus
17 L'enfant prodigue
18 Monsieur est mort
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