paroles de chanson Quelques rimes sous le ciel - Demi Portion , Fayçal
Leurs
engrenages
sont
en
surchauffe,
j'ai
la
vision
de
l'aigle
Une
évasion
en
règle
dans
l'encre
nage
sain
et
sauf
Entre
nuages
et
croûte
terrestre,
mes
splendeurs
sous
cellophane
Vendeurs
de
doutes
lorsque
tout
fane,
mes
pages
se
défenestrent
Des
fleurs
mortes
sous
mes
fenêtres,
des
rêves
dans
un
cendrier
Voir
notre
honneur
renaitre,
une
trêve
avant
de
vriller
Ouvrier
de
la
plume,
j'ai
trimé
pour
le
subtil
Là
où
briller
est
inutile
comme
frimer
dans
cette
large
brume
Nos
baskets
sur
le
bitume,
tous
courent
à
l'envers
Mais
les
discours
de
ces
pervers
ne
rachètent
pas
notre
amertume
(Te
rackette?)
un
peu
de
zèle
comme
de
l'eau
dans
le
gaz
Et
leurs
machettes
sont
sur
nos
ailes,
on
est
les
frelots
de
Pégase
Une
génération
dans
le
mur,
trop
de
manchettes
Les
frérots
crisent
par
des
murmures,
brisent
leurs
fémurs
sur
des
planchettes
Grise
atmosphère,
j'étale
mes
tripes
sur
mes
toiles
Détale
entre
les
étoiles
et
m'extirpe
de
cet
Enfer
Par
la
création,
c'est
des
pétales
que
je
respire
Quand
je
rêve
de
réaction,
d'un
putsch
dans
leur
empire
Peu
de
bouches
d'aérations,
qu'une
pour
nos
textes
Louche
est
ce
contexte,
pire
ça
frise
l'aberration
J'en
ai
franchi
des
monts,
mes
idées
je
suivrai
C'est
décidé
que
j'arriverai
affranchi
devant
leurs
démons
J'ai
appris
et
fait
mes
armes
ici
à
l'école
de
la
vie
Compris
le
prix,
l'effet
d'une
larme,
que
si
tu
décolles
on
t'envie
C'est
quelques
rimes
sous
le
ciel,
c'est
rien
de
plus
Chez
nous
rien
d'artificiel,
tout
c'qui
prime
est
dans
nos
plexus
Quelques
rimes
sous
le
soleil
C'est
quelques
rimes
sous
le
ciel,
c'est
rien
de
plus
Chez
nous
rien
d'artificiel,
tout
c'qui
prime
est
dans
nos
plexus
Chez
nous
rien
d'artificiel,
tout
c'qui
prime
est
dans
nos
plexus
Parce
qu'on
a
pas
choisi
d'être
comme
ça,
détrompe
toi
Laisse
le
boulot
au
clochard,
il
va
mieux
t'parler
du
trottoir
Souriez
parce
que
cette
vie
va
nous
rapprocher
du
convoi
Bourré
comme
certains
le
pourront
du
matin
au
soir
Parce
qu'on
a
pas
choisi
de
sourire
devant
un
salaire
Souffrir
tout
mais
rien
n'vaut
un
je
t'aime
à
sa
mère
Vas-y,
paie
ta
galère,
la
monnaie
n'est
que
routine
J'finis
nos
rimes,
soyons
sûr
nous
paiera
pas
une
Lamborghini
Encore
à
la
bourre
Demi
avant
qu'la
date
périme
Non
aucune
blague
terrible,
y'a
plus
d'femmes
à
marier
C'est
mort
depuis
que
l'amour
accroche
les
bactéries
Qui
aurait
cru
à
c'constat?
Personne
C'est
l'contraire:
tombe
à
l'eau,
y'a
qu'des
requins
qui
t'sauvent
Mince,
comment
te
dire
qu'on
choisit
pas
sa
destinée
Que
le
bon
rappeur
ici
n'est
pas
seulement
le
plus
stylé
Sous-estimé
d'vous,
p't-être
qu'on
est
fou
un
point
c'est
tout
Bien
éloigné
d'vos
grosses
merdes
mais
en
revanche
chacun
ses
goûts
On
est
en
France
calme-toi,
t'as
pas
le
droit
de
parler
fort
Si
t'es
une
star
bien
sûr
qu'on
t'jettera
dans
les
ressorts
Afin
qu'tu
grimpes
vite,
vite
en
oubliant
le
calvaire
Chut,
j'suis
de
l'Old
School
à
la
Maurice
Clavel
Salem,
on
sait
qu'ici
plein
de
curieux
s'baladent
Un
milieu
sale
à
s'tirer
les
cheveux
à
la
Francis
Lalanne
1 Lettres de noblesses
2 Portrait de l'Epoque
3 Spleens et Premières
4 Quelques rimes sous le ciel
5 Mes points d'interrogations
6 Trajectoires
7 Le charme de nos chimères
8 Chrysoprase
9 Jugement de valeurs
10 Comme une soif...
11 Comme une soif...
12 Ninjutsu
13 Le sourire de Kitano
14 Mélodie d'un jour de Juin
15 Requiem pour encre fine
16 Baroud d'honneur
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