paroles de chanson Porte Z - Feu! Chatterton
Une
plaine
et
des
choeurs
d'enfants
Rien
n'était
plus
beau
qu'aujourd'hui
Le
soir
tombait
comme
un
rideau
Les
jeunes
gens
s'en
allaient
Le
soir
tombait
comme
un
rideau
métallique
Les
jeunes
gens
s'en
allaient
Rêvant
à
l'air
libre
allergène
D'une
autre
plaine
Et
le
jour
avait
Une
couleur
d'été,
de
printemps
Des
milliers
d'avions
Éventraient
le
ciel
mais
nous
n'avions
Et
le
jour
avait
Une
couleur
d'été,
de
printemps
Des
milliers
d'avions
Éventraient
le
ciel
mais
nous
n'avions
Peur
de
rien
Dans
la
plaine
montait
enfin
Cette
clameur
qui
étourdit
Les
nues
se
fendaient
de
sifflets
Les
jeunes
gens
s'en
allaient
L'azur
se
fendait
de
sifflets
métalliques
Et
les
jeunes
gens
s'en
allaient
Par
mille,
ivre
cohorte
Qui
hâtivement
élevait
au
milieu
de
la
plaine
Parmi
l'ivre
cohorte
Ils
s'en
allaient
S'en
allaient
S'en
allaient
Sur
le
champ
S'en
allaient
se
perdre
Au
milieu
de
l'ivre
cohorte
Qui
hâtivement
élevait
Un
grand
bûcher
pour
se
distaire
Là,
tout
juste
au
cœur
de
la
plaine
Au
cœur
de
la
plaine
Et
le
jour
avait
Une
couleur
d'été,
de
printemps
Des
milliers
d'avions
Éventraient
le
ciel
mais
nous
n'avions
Et
le
jour
avait
Une
couleur
d'été,
de
printemps
Des
milliers
d'avions
Éventraient
le
ciel
mais
nous
n'avions
Peur
de
rien
Peur
de
rien
Peur
de
rien
Dans
cette
plaine
Cette
autre
plaine
Une
autre
plaine
Une
autre
plaine
Une
autre
plaine
Dans
laquelle
nous
n'avions
peur
de
rien
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