paroles de chanson Les chemins de traverse - Francis Cabrel
Moi
je
marchais
les
yeux
par
terre
Toi
t'avais
toujours
le
nez
en
l'air
Et
c'est
comme
ça
qu'on
s'est
connu
On
avait
chacun
sa
guitare
On
n'était
pas
loin
d'une
gare
C'est
le
hasard
qui
l'a
voulu
Et
tu
m'as
dis
quand
leurs
ailes
sont
mortes
Les
papillons
vont
où
le
vent
les
porte
On
a
pris
le
premier
chemin
venu
Et
quand
la
nuit
est
tombée
Sur
la
voie
ferrée
On
était
bien
loin
de
la
ville
On
n'entendait
que
des
notes
Et
le
bruit
de
nos
bottes
Sous
la
pleine
lune
immobile
On
a
traversé
les
semaines
Comme
de
vrais
fêtes
foraines
Sans
même
penser
au
retour
On
s'est
perdu
dans
les
nuages
Comme
les
oiseaux
de
passages
À
suivre
les
filles
d'un
jour
Et
pour
ne
pas
que
des
fous
nous
renversent,
On
prenait
les
chemins
de
traverse
Même
s'ils
ne
sont
jamais
les
plus
courts
Et
quand
la
nuit
tombait
Sur
la
voie
ferrée
On
était
bien
loin
de
la
ville
On
n'entendait
que
des
notes
Et
le
bruit
de
nos
bottes
Sous
la
pleine
lune
immobile
Et
quelques
fois
je
me
souviens
Ceux
qui
nous
ont
lâché
les
chiens
Et
jeté
des
pierres
au
visage
Ils
n'ont
rien
empêché
quand
même
Puisque
le
seul
métier
qu'on
aime
C'est
la
bohème
et
le
voyage
Et
quand
la
nuit
va
tomber
Sur
la
voie
ferrée
On
sera
bien
loin
de
la
ville
On
n'entendra
que
des
notes
Et
le
bruit
de
nos
bottes
Sous
la
pleine
lune
immobile
Et
quand
la
nuit
va
tomber
Sur
la
voie
ferrée
On
sera
bien
loin
de
la
ville
On
n'entendra
que
des
notes
Et
le
bruit
de
nos
bottes
Sous
la
pleine
lune
immobile
Sous
la
pleine
lune
immobile
Attention! N'hésitez pas à laisser des commentaires.