paroles de chanson 28 litres plus tard - Gérard Baste
"Hé
mon
pote
Hé
regarde
c'
que
j'ai
pour
toi
Une
ptite
gorgée
de
ça
et
fini
le
lait
écrémé
À
ta
santé
ptit
(ha-ha-ha-ha)"
C'est
toujours
la
même
histoire,
Le
même
cinéma
qui
recommence
touts
les
soirs
Une
silhouette
qui
émerge
du
noir
Qui
te
saute
au
coup
en
puant
de
la
gueule
et
en
hurlant
"à
boire!"
Dans
les
rues
désertes
c'est
le
cauchemar
Les
gens
crient
et
s'enfuient
quand
arrive
mon
armée
d'crevards
Et
si
tu
me
trouve
déjà
bizarre,
allez
On
en
reparlera
quand
tu
m'verra
28
litres
plus
tard
J'ai
une
halène
de
mort
Et
des
pensées
malsaines
Et
j'
sort
de
ma
tanière
quand
la
lune
apparait
dans
le
ciel
Une
montée
de
fièvre
et
j'ai
tout
le
corps
qui
tremble
J'
pouse
un
hurlement
horrible
plié
en
m'tenant
le
ventre
Les
paupières
qui
s'
retournent
Et
les
yeux
qui
se
révulsent
Les
mains
qui
pendent
au
bout
de
mes
bras
qui
se
tendent
Tout
droit
d'vant
l'buste
Les
dents
qui
s'allongent
et
les
poils
qui
poussent
J'marche
comme
un
zombie
dégueulasse
Jusqu'à
c'
que
j'
fasse
les
courses
D'vant
le
rayon
où
j'vais
squatter
pendant
trois
quarts
d'heure
En
train
d'bander
comme
un
vieux
hardeur
J'
finirait
par
serrer
la
même
vielle
biquette
mais
Une
par
une
j'lirai
toutes
les
étiquettes
Si
y'
a
une
pauvre
meuf
qui
m'
dit
"Excusez
moi
j'passe"
NON
tu
passe
pas
devant
moi
quand
j'regarde
le
pinard
connasse
J'
la
tire
par
les
cheveux
j'
lui
dévore
la
gorge
J'vise
le
goulot
avec
les
dents
et
j'vide
cul
sec
Une
teille
de
Nuits
st
Georges
C'est
toujours
la
même
histoire,
Le
même
cinéma
qui
recommence
touts
les
soirs
Une
silhouette
qui
émerge
du
noir
Qui
te
saute
au
coup
en
puant
de
la
gueule
et
en
hurlant
"à
boire!"
Dans
les
rues
désertes
c'est
le
cauchemar
Les
gens
crient
et
s'enfuient
quand
arrive
mon
armée
d'crevards
Et
si
tu
me
trouve
déjà
bizarre
allez
On
en
reparlera
quand
tu
m'verra
28
litres
plus
tard
"Hé
mon
pote
Tu
peux
m'mettre
une
autre
bouteille
de
coté
pour
plus
tard?
-Mon
vieux
je
n'mettrais
rien
de
coté
pour
toi
-Hé
mais
j'suis
pas
en
train
d'
te
parler
d'la
gnôle
mec
J'
te
parle
pas
d'la
gnôle.
La
vie
(ha),
j'
suis
en
train
de
parler
de
la
vie
-J'
me
fous
complètement
de
c'
que
tu
m'
raconte
Tu
prend
ta
gnôle
et
tu
dégage
-Attend
hé
écoute
un
peu"
J'absorbe
plus
que
la
Sphaigne
En
manque
j'
suis
une
teigne
Et
j'
renait
à
la
vie
lorsque
les
lumières
de
la
ville
s'éteignent
La
bouche
ouverte,
la
gorge
sèche
et
les
bras
qui
grattent
J'
défonce
ton
thorax
et
j'
bouffe
ton
cœur
de
picrate
C'est
le
retour
de
kid
CUBI
C'est
le
bal
des
promos,
et
ma
victime
a
une
belle
robe
rubis
Tous
les
vendredis
13
degrés
on
se
réunit
Et
c'est
toute
l'armée
des
morts
qui
fonce
vers
l'épicerie
de
nuit
Ça
te
fera
pas
mal
c'est
promis
J'
l'enfile
tout
bourré
pendant
que
Jennifer
vomit
Et
l'
aut'
pédé
de
Dracula
peut
venir
me
sucer
C'est
lui
qui
va
tomber
dans
le
coma
Visage
bouffi
contre
les
vampires
The
descente
qui
fait
peur
et
je
m'entretiens
avec
un
sang
pire
Priez
le
Saint
Père
De
pas
croiser
Gérard
En
train
de
boire
seul
le
soir,
à
poil
sous
son
imper'
J'ai
le
vin
d'horreur,
un
pas
de
plus
vers
l'aurore
Ramène
un
sommelier
si
tu
comptes
identifier
le
corps
Tu
peux
venir
me
planter
un
pieu
dans
le
cœur
Personne
pourra
m'arrêter
tant
que
je
serai
armé
d'un
décapsuleur
C'est
toujours
la
même
histoire
Le
même
cinéma
qui
recommence
touts
les
soirs
Une
silhouette
qui
émerge
du
noir
Qui
te
saute
au
coup
en
puant
de
la
gueule
et
en
hurlant
"à
boire!"
Dans
les
rues
désertes
c'est
le
cauchemar
Les
gens
crient
et
s'enfuient
quand
arrive
mon
armée
d'crevards
(oohh)
Et
si
tu
me
trouve
déjà
bizarre,
allez
On
en
reparlera
quand
tu
m'reverra
28
litres
plus
tard
"Prend
ta
gnôle
et
dégage
- ça
y'
est
j'
crois
qu'
ça
vient
Tu
commence
à
saisir
c'
que
j'
veux
dire
Et
quand
tu
saura
la
vérité
tu
aura
tout
bon
mon
pote
- Bon
allez
vas-y
raconte"
Les
yeux
exorbités
injecté
de
sang
et
l'
visage
blême
J'
pourrais
boire
encore
plus
mais
j'ai
la
flemme
J'
m'essuie
la
bouche
du
revers
d'
la
main
Pendant
que
les
dernières
bouteilles
crèvent
Et
j'rejoins
mon
cercueil
quand
l'
soleil
se
lève
J'ai
vidé
les
briques,
fais
les
comptes
de
la
Kriek
J'ai
été
abdominable,
j'ai
bu
tout
le
sang
de
la
Terre
Et
j'ai
signé
un
pack
avec
le
diable
(ha-ha-ha-ha)
Une
cannette
vide
c'est
ma
vision
d'lenfer
Et
j'
fonce
vers
le
prochain
bistrot
à
tombeau
ouvert
Et
en
guise
d'épitaphe
le
jour
où
je
remballe
Tu
peux
inscrire
"Rest
in
Pils"
sur
ma
bière
tombale
C'est
toujours
la
même
histoire,
Le
même
cinéma
qui
recommence
touts
les
soirs
Une
silhouette
qui
émerge
du
noir
Qui
te
saute
au
coup
en
puant
de
la
gueule
et
en
hurlant
"à
boire!"
Dans
les
rues
désertes
c'est
le
cauchemar
Les
gens
crient
et
s'enfuient
quand
arrive
mon
armée
d'crevards
Et
si
tu
me
trouve
déjà
bizarre,
allez
On
en
reparlera
quand
tu
m'verra
28
litres
plus
tard
28
litres
plus
tard
28
litres
plus
tard
28
litres
plus
tard
28
litres
plus
tard
(Cris)
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