paroles de chanson Mon voisin - Julie Zenatti
Aux
rythmes
d'une
pendule
Semblant
battements
de
cÅâur
Le
décor
se
bouscule
Je
décompte
mes
moutons
Je
détourne
et
retourne
D'infimes
maladresses
Qui
n'auront
pas
de
cesse
De
narguer
nos
humeurs
C'est
triste
d'aimer
Contre
les
heures
qui
passent
Et
m'agacent,
C'est
triste
d'aimer
contre
les
heures
C'est
séparés
par
un
mur
Sous
la
couette
de
la
chambre
voisine
Je
n'attendais,
en
fait,
De
ne
plus
voir
ce
matin,
Où
tu
ne
m'aimerais
plus
Et
puis
passent
et
repassent
Nos
rimes
et
nos
entrains
Qui
feront
tout
oublier
De
ce
qui
viendra
demain
Je
dépasse
les
détails
Pour
ne
voir
que
tes
mains
Qui
m'offrent
encore
une
fois
Les
notes
d'histoire
sans
fin
C'est
triste
d'aimer
Contre
les
heures
qui
passent
Et
m'agacent,
C'est
triste
d'aimer
contre
les
heures
C'est
séparés
par
un
mur
Sous
la
couette
de
la
chambre
voisine
Je
n'attendais,
en
fait,
De
ne
plus
voir
ce
matin,
Où
tu
ne
m'aimerais
plus
Je
m'enrhume
à
veiller
Les
yeux
en
coin
des
draps
Pour
t'écouter
passer
Puis
faire
comme
si
de
rien
Et
les
coussins
s'affaissent
Reflets
de
nos
erreurs
Le
matin
se
rapproche
La
chambre
me
fait
peur...
C'est
triste
d'aimer
Contre
les
heures
qui
passent
Et
m'agacent,
C'est
triste
d'aimer
contre
les
heures
C'est
séparés
par
un
mur
Sous
la
couette
de
la
chambre
voisine
Je
n'attendais,
en
fait,
De
ne
plus
voir
ce
matin,
Où
tu
ne
m'aimerais
plus
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