paroles de chanson Les vinyles d'ébène - Souleymane Faye , Kemit
Venu
écrire
le
destin,
Instinct
festif
dans
les
refrains
Negro
jazz
parle
de
tout
Construit
l'héritage,
African
Jazz
Madilu
et
les
bantous
de
la
capitale
Le
succès
crée
ses
lois
et
distribue
les
rôles
Baba
Maal,
Aurlus
Mabelé
Et
Tabou
Ley
Rocherot
Trouvent
la
voie
donc
visent
l'émeraude
De
Kin
à
Braza
prospèrent
Des
tubes
difficiles
à
égaler
Indépendance
Tchatcha
Était
le
hit
continental
de
grand
Kalé
Leur
musique
était
belle
Gravée
sur
des
vinyles
d'ébène
On
écoutait
Omar
Pen,
Franco
Et
la
charmante
Mbilia
Belle
Dans
la
foulée
Fela
créait
l'afro-beat
Fancklin
Boukaka
chantait
'liberté'
Jusqu'à
en
faire
des
hits
Ils
se
souciaient
de
briller
Sans
chercher
à
éteindre
les
autres
Miriam
Makeba
relevait
Les
opprimés,
Pierre
Akendengué
Défendait
les
nôtres
Leur
génération
misait
tout
sur
le
travail
On
écoutait
Idrissa
Diop,
Xhalam
Wasiz
Diop
& Souleymane
Faye
Ces
mines
d'or
savaient
faire
rêver
Bembeya
Jazz,
Salif
Keita
& le
Super
Mazembé
L'Afrique
avait
enfanté
Des
légendes
comme
Mory
Kanté
Touré
Kunda,
Africando,
Youssou
Ndour
Et
tous
ces
noms
Dont
on
peut
encore
se
vanter
Les
hits
résonnaient
ici
Et
faisaient
rayonner
par-là
Sur
des
classiques
d'Hugh
Masekela
Orchestra
Baobab
et
Prince
Mbarga
SOULEYMANE
FAYE
Tout
vient
de
l'Afrique
Tout
reviendra
à
l'Afrique
Leur
musique
était
belle
Gravée
sur
des
vinyles
d'ébène
On
écoutait
Omar
Pen,
Franco
Et
la
charmante
Mbilia
Belle(bis)
Ils
partaient
de
leur
petit
village
Sans
se
douter
qu'ils
deviendraient
des
icônes,
C'était
l'époque
où
on
sortait
le
graal
du
lot,
Pata
Pata
repris
par
la
diva
Coumba
Gawlo,
Pendant
ce
temps
en
Côte
d'Ivoire
Alpha
Blondy
brandit
La
beauté
de
Fanta
Diallo,
À
cette
époque
dans
les
ghettos
Les
jeunes
fument
de
la
kaya,
En
écoutant
Tchico
Tchicaya,
D'Abuja
jusqu'à
Maya
Maya,
Une
poussée
lyricale
Aux
allures
d'une
césarienne,
Dévora
l'univers
musical
Sous
la
voix
de
Cesaria
Evora,
La
musique
avait
du
sens,
Faisait
danser
les
consciences,
Avec
le
Makossa
de
Manu
Dibango
En
pleine
effervescence,
Toute
l'Afrique
savait
bouger,
Demande
à
Mackjoss,
La
meilleure
danse
De
l'année
c'était
'le
boucher'
Sans
Fantômas
en
Afrique
centrale
et
ouest,
Déplaçait
les
masses
et
réalisait
Une
véritable
prouesse,
Toute
cette
génération
Rêvait
sortir
de
la
misère,
Ali
Farka
Touré
faisait
naître
Le
blues
au
bord
du
fleuve
Niger
C'était
la
fin
du
coma,
L'ascension
de
l'Afro-Jazz
d'Hilarion
Ngema
Les
'airs
du
terroir'
de
Martin
Rompavet
Et
les
tubes
planétaires
d'Oliver
Ngoma
SOULEYMANE
FAYE
Leur
musique
était
belle
Gravée
sur
des
vinyles
d'ébène
On
écoutait
Omar
Pen,
Franco
Et
la
charmante
Mbilia
Belle(bis)
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